Le président ivoirien Alassane Ouattara a réitéré mardi à Tiapoum (est d’Abidjan) son appel aux Ivoiriens exilés dans les pays limitrophes depuis la crise post-électorale de 2010 et 2011 à rentrer au pays "sans crainte" pour prendre part à l’oeuvre de reconstruction du pays.
Pour le chef de l’Etat ivoirien qui intervenait à l’occasion d’une visite d’Etat dans la région, la Côte d’Ivoire a besoin de la contribution de tous ses fils et filles.
"Nous devons bâtir la nation ensemble. Pour cela nous devons cultiver l’amour et la paix. Sans paix il n’y a pas de développement", a noté M. Ouattara.
"Rentrez dans la République, et nous vous trouverons de l’emploi", a souligné le chef de l’Etat, insistant sur la nécessité pour les jeunes de refuser la manipulation politique.
Au plus fort de la crise post-électorale qui a déchiré la Côte d’Ivoire, plusieurs Ivoiriens majoritairement pro-Gbagbo avaient pris le chemin de l’exil.
Certains d’entre eux sont partis de Tiapoum ou ont transité par cette région proche du Ghana.
Selon des statistiques du Service d’assistance et d’aide aux réfugiés et apatrides (SAARA) et du HCR, sur près de 300.000 Ivoiriens qui avaient quitté le pays au début de la crise pour se réfugier dans des pays limitrophes, les deux tiers ont pu être acheminés à ce jour.
Les autorités et les organisations humanitaires continuent la sensibilisation, pour le retour "dans la sécurité et la dignité" des personnes en exil, estimant que la normalité est effective dans le pays.
Pour le chef de l’Etat ivoirien qui intervenait à l’occasion d’une visite d’Etat dans la région, la Côte d’Ivoire a besoin de la contribution de tous ses fils et filles.
"Nous devons bâtir la nation ensemble. Pour cela nous devons cultiver l’amour et la paix. Sans paix il n’y a pas de développement", a noté M. Ouattara.
"Rentrez dans la République, et nous vous trouverons de l’emploi", a souligné le chef de l’Etat, insistant sur la nécessité pour les jeunes de refuser la manipulation politique.
Au plus fort de la crise post-électorale qui a déchiré la Côte d’Ivoire, plusieurs Ivoiriens majoritairement pro-Gbagbo avaient pris le chemin de l’exil.
Certains d’entre eux sont partis de Tiapoum ou ont transité par cette région proche du Ghana.
Selon des statistiques du Service d’assistance et d’aide aux réfugiés et apatrides (SAARA) et du HCR, sur près de 300.000 Ivoiriens qui avaient quitté le pays au début de la crise pour se réfugier dans des pays limitrophes, les deux tiers ont pu être acheminés à ce jour.
Les autorités et les organisations humanitaires continuent la sensibilisation, pour le retour "dans la sécurité et la dignité" des personnes en exil, estimant que la normalité est effective dans le pays.