Ouagadougou – Dans un communiqué de presse conjoint daté du 16 septembre, la CEDEAO, l’Union Africaine et les Nations Unies qui assurent la Présidence conjointe du Groupe international de soutien et d’accompagnement pour la transition au Burkina-Faso (GISAT-BF) condamnent la prise d’otage de l’Exécutif burkinabè par le Régiment de la sécurité présidentielle (RSP).
En effet, mercredi, des éléments du RSP ont fait irruption dans la salle du conseil des ministres, le dernier rendez-vous gouvernemental avant l’ouverture, samedi, de la campagne pour la présidentielle du 11 octobre. Ils o nt séquestré le Président du Faso, Michel Kafando, le Premier ministre Yacouba Isaac Zida, ainsi que des ministres de la transition, en plein conseil des ministres au Palais de Kossyam.
« Les trois organisations condamnent avec la plus grande fermeté cette violation flagrante de la Constitution et de la Charte de Transition. Elles exigent que les forces de défense et de sécurité se soumettent à l’autorité politique et dans le contexte actuel aux autorités de la transition », souligne le communiqué conjoint.
La CEDEAO, l’Union Africaine et les Nations Unies exigent la libération immédiate des otages. Elles soulignent avec force que les auteurs de cet enlèvement inacceptable répondront de leurs actes et seront tenus responsables de toute atteinte à l’intégrité physique du Président du Faso, du P remier ministre et des autres personnalités qu’ils détiennent.
La CEDEAO, l’UA et l’ONU réaffirment leur plein soutien à la Transition en cette période cruciale pour son aboutissement avec les élections. « Elles réaffirment leur détermination, en appui aux autorités nationales, à tout mettre en œuvre pour assurer le parachèvement réussit de la transition au Burkina Faso », conclut le texte transmis jeudi à l’AIP.
(AIP)
cmas
En effet, mercredi, des éléments du RSP ont fait irruption dans la salle du conseil des ministres, le dernier rendez-vous gouvernemental avant l’ouverture, samedi, de la campagne pour la présidentielle du 11 octobre. Ils o nt séquestré le Président du Faso, Michel Kafando, le Premier ministre Yacouba Isaac Zida, ainsi que des ministres de la transition, en plein conseil des ministres au Palais de Kossyam.
« Les trois organisations condamnent avec la plus grande fermeté cette violation flagrante de la Constitution et de la Charte de Transition. Elles exigent que les forces de défense et de sécurité se soumettent à l’autorité politique et dans le contexte actuel aux autorités de la transition », souligne le communiqué conjoint.
La CEDEAO, l’Union Africaine et les Nations Unies exigent la libération immédiate des otages. Elles soulignent avec force que les auteurs de cet enlèvement inacceptable répondront de leurs actes et seront tenus responsables de toute atteinte à l’intégrité physique du Président du Faso, du P remier ministre et des autres personnalités qu’ils détiennent.
La CEDEAO, l’UA et l’ONU réaffirment leur plein soutien à la Transition en cette période cruciale pour son aboutissement avec les élections. « Elles réaffirment leur détermination, en appui aux autorités nationales, à tout mettre en œuvre pour assurer le parachèvement réussit de la transition au Burkina Faso », conclut le texte transmis jeudi à l’AIP.
(AIP)
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