En visite officielle de 72 heures en Côte d’Ivoire, le Directeur général du Bureau International du Travail (BIT), M. Guy Ryder, a été reçu à déjeuner par le communauté des travailleurs et employeurs de Côte d’Ivoire, lundi à la Maison de l’Entreprise au plateau.
M. Guy Ryder, à la tête du BIT depuis 2012, a échangé avec les partenaires sociaux qui regroupent la Confédération Générale des Entreprises de Côte d’Ivoire (CGECI), la Fédération Ivoirienne des Petites et Moyennes Entreprises (FIPME), les centrales syndicales UGTCI, DIGNITE, FESACI, UNARTR CI et HUMANISME .
Au nom des employeurs de Côte d’Ivoire, M. Bernard N’DOUMI, Conseiller spécial du Président de la CGECI, en charge des questions sociales et de la formation a, au nom de M. Jean Kacou DIAGOU, exprimé sa joie de voir le premier responsable du BIT venir soutenir le model ivoirien de dialogue bipartite qui a donné des succès remarquables.
Au nombre de ceux-ci, figurent la récente revalorisation des salaires conventuels, du SMIG, des primes de transport, ou encore la révision du code de travail. Des acquis, en faveurs des travailleurs, issus du dialogue qui s’est encagé et qui se veut pérenne, entre les partenaires sociaux membre de la Commission Indépendante Permanente de Concertation (CIPC), véritable cadre d’échanges et de propositions depuis Avril 1996.
Selon M N’DOUMI, le soutien du BIT n’a jamais fait défaut et la présence de M. Ryder en est une preuve supplémentaire. Il également souligné les efforts de plus en plus remarquables de la CGECI en faveur de l’emploi jeune en Côte d’Ivoire à travers sa Commission Entrepreneuriat Jeune.
Pour le porte-parole des centrales syndicales, M.TRAORE Doya, secrétaire General de la FESACI, cette visite en Côte d’ivoire, au-delà du réconfort que cela procure aux travailleurs, est aussi le lieu d’exprimer quelques préoccupations qui subsistent encore dans la sphère du dialogue social en Côte d’Ivoire. Notamment, la marche forcée du mécanisme tripartite (Travailleurs, Employeurs et Etat). Selon, lui, si le dialogue bipartite fonctionne bien, celui incluant l’Etat doit être renforcé. A cette doléance, il a ajouté le besoin d’accompagnement et de formation spécifique, mais aussi syndicale, dont ont besoin les syndicalistes pour faire face aux nouveaux défis qui ne manqueront pas face à la mutation croissante du monde du travail.
Pour sa part, M. Guy Ryder a relevé l’exemplarité du dialogue social en Côte d’Ivoire : ‘‘ vous êtes un exemple de de réussite par le dialogue’’. Dira-t-il, avant d’ajouter que le BIT est définitivement de retour en Côte d’Ivoire et continuera de jouer son rôle. L’accompagnement, la formation des centrales, mais aussi l’écoute de toutes les parties resteront son cheval de bataille.
Rappelons que le DG du BIT avait à s’est côtés, la Directeur Général Adjoint du BIT, le Nouveau Directeur Pays, M. Dramane HAIDARA et M. Ben LAKP LOW, directeur pays intérimaire dont l’action a été saluée par tous les intervenants.
R. KRA
M. Guy Ryder, à la tête du BIT depuis 2012, a échangé avec les partenaires sociaux qui regroupent la Confédération Générale des Entreprises de Côte d’Ivoire (CGECI), la Fédération Ivoirienne des Petites et Moyennes Entreprises (FIPME), les centrales syndicales UGTCI, DIGNITE, FESACI, UNARTR CI et HUMANISME .
Au nom des employeurs de Côte d’Ivoire, M. Bernard N’DOUMI, Conseiller spécial du Président de la CGECI, en charge des questions sociales et de la formation a, au nom de M. Jean Kacou DIAGOU, exprimé sa joie de voir le premier responsable du BIT venir soutenir le model ivoirien de dialogue bipartite qui a donné des succès remarquables.
Au nombre de ceux-ci, figurent la récente revalorisation des salaires conventuels, du SMIG, des primes de transport, ou encore la révision du code de travail. Des acquis, en faveurs des travailleurs, issus du dialogue qui s’est encagé et qui se veut pérenne, entre les partenaires sociaux membre de la Commission Indépendante Permanente de Concertation (CIPC), véritable cadre d’échanges et de propositions depuis Avril 1996.
Selon M N’DOUMI, le soutien du BIT n’a jamais fait défaut et la présence de M. Ryder en est une preuve supplémentaire. Il également souligné les efforts de plus en plus remarquables de la CGECI en faveur de l’emploi jeune en Côte d’Ivoire à travers sa Commission Entrepreneuriat Jeune.
Pour le porte-parole des centrales syndicales, M.TRAORE Doya, secrétaire General de la FESACI, cette visite en Côte d’ivoire, au-delà du réconfort que cela procure aux travailleurs, est aussi le lieu d’exprimer quelques préoccupations qui subsistent encore dans la sphère du dialogue social en Côte d’Ivoire. Notamment, la marche forcée du mécanisme tripartite (Travailleurs, Employeurs et Etat). Selon, lui, si le dialogue bipartite fonctionne bien, celui incluant l’Etat doit être renforcé. A cette doléance, il a ajouté le besoin d’accompagnement et de formation spécifique, mais aussi syndicale, dont ont besoin les syndicalistes pour faire face aux nouveaux défis qui ne manqueront pas face à la mutation croissante du monde du travail.
Pour sa part, M. Guy Ryder a relevé l’exemplarité du dialogue social en Côte d’Ivoire : ‘‘ vous êtes un exemple de de réussite par le dialogue’’. Dira-t-il, avant d’ajouter que le BIT est définitivement de retour en Côte d’Ivoire et continuera de jouer son rôle. L’accompagnement, la formation des centrales, mais aussi l’écoute de toutes les parties resteront son cheval de bataille.
Rappelons que le DG du BIT avait à s’est côtés, la Directeur Général Adjoint du BIT, le Nouveau Directeur Pays, M. Dramane HAIDARA et M. Ben LAKP LOW, directeur pays intérimaire dont l’action a été saluée par tous les intervenants.
R. KRA