Pour réclamer le paiement de leurs primes de correction, les enseignants de l’Ecole normale supérieure (ENS) ont décidé d’arrêter toute activité d’évaluation depuis hier.
Dr N’guessan Kouamé, secrétaire général la Coordination nationale des enseignants chercheurs et chercheurs de Côte d’Ivoire (CNEC), section Ens a fait savoir le lundi dernier, que toute activité d’évaluation est arrêtée jusqu’au paiement intégral des primes de correction restantes. C’était au terme de l’Assemblée générale ordinaire qu’a organisée cette section de la CNEC pour réclamer le paiement intégral des primes de correction de ses adhérents. En effet, il a expliqué que sur les trente deux (32) millions de F Cfa attendus, c’est la somme de 16 millions de Fcfa, qui a été versée aux interessés, soit 50% du montant dû. En fait les enseignants estiment que le Pr. Sidibé Valy veut payer les copies à 300 F Cfa l’unité alors qu’elles sont rémunérées à 600 F.Cfa l’unité. Cette volonté du directeur de l’ENS, n’a pas eu l’assentiment des enseignants par le passé et a même engendré un arrêt de travail. Si rien n’est fait, cette situation aura forcément un impact sur les évaluations du concours direct, selon les enseignants.
Rosemonde Kouadio
Dr N’guessan Kouamé, secrétaire général la Coordination nationale des enseignants chercheurs et chercheurs de Côte d’Ivoire (CNEC), section Ens a fait savoir le lundi dernier, que toute activité d’évaluation est arrêtée jusqu’au paiement intégral des primes de correction restantes. C’était au terme de l’Assemblée générale ordinaire qu’a organisée cette section de la CNEC pour réclamer le paiement intégral des primes de correction de ses adhérents. En effet, il a expliqué que sur les trente deux (32) millions de F Cfa attendus, c’est la somme de 16 millions de Fcfa, qui a été versée aux interessés, soit 50% du montant dû. En fait les enseignants estiment que le Pr. Sidibé Valy veut payer les copies à 300 F Cfa l’unité alors qu’elles sont rémunérées à 600 F.Cfa l’unité. Cette volonté du directeur de l’ENS, n’a pas eu l’assentiment des enseignants par le passé et a même engendré un arrêt de travail. Si rien n’est fait, cette situation aura forcément un impact sur les évaluations du concours direct, selon les enseignants.
Rosemonde Kouadio