La fête de la Tabaski a lieu jeudi 24 septembre, avant cette importante échéance pour la communauté musulmane, le ministre Adjoumani s'est rendu mardi à l'abattoir de Port Bouët pour visiter les différents enclos où sont parqués les moutons, échanger avec les vendeurs. Il ressort de cette visite, que cette année, ainsi que l'a dit le détenteur du maroquin de la Production animale et des Ressources halieutiques, les moutons ne sont pas nombreux.
En effet, sur 100 000 bêtes attendues, ce sont 70 000 qui sont effectivement sur le marché ivoirien. Mais cette situation n'est que temporaire dans la mesure où mercredi, un arrivage de plus de 80 000 moutons est attendu. Information du reste confirmée par M. Dao Moussa de la filière bétail, qui a affirmé que 40 camions contenant 300 têtes chacun sont en route. Le déficit sera donc comblé. En comparaison, l'année dernière, des arrivages de 123 000 bêtes avaient été enregistrés, dont deux tiers du Burkina Faso, le reste est venu du Mali, de la Guinée et du Niger.
Au dire du ministre Adjoumani, le déficit sur le marché ivoirien s'explique par la crise qui a éclaté au Burkina Faso. Du fait de la fermeture des frontières, il en a résulté un retard dans le processus d'arrivage, toute chose qui a pour conséquences, le renchérissement des prix du mouton. "C'est la loi de l'offre et de la demande", a dit le ministre. "Plus il y a d'animaux, moins le prix est élevé. En revanche, moins il y a d'animaux, plus les prix sont élevés. Et le gouvernement ne peut pas imposer un prix aux commerçants."
Pour faire face à de tels désagréments, la solution que préconise Kobenan Adjoumani, c'est que la Côte d'Ivoire elle-même fasse l'élevage intensif de moutons, mais le climat semble ne pas être adapté. Avant de clore son propos, il a demandé à tous ceux qui veulent s'approvisionner en moutons de le faire mercredi. Du fait du nouvel arrivage, il pense que cela aura certainement une incidence sur les coûts.
A propos desdits coûts, le vice-gouverneur N'Cho Kouaoh, qui représentait le gouverneur Beugré Mambé, a indiqué que le District autonome d'Abidjan agit dans le sens de l'intérêt des clients. Pour cette raison, l'institution a supprimé les "faux frais" qui avaient pour conséquence d'augmenter les prix des moutons.
En effet, sur 100 000 bêtes attendues, ce sont 70 000 qui sont effectivement sur le marché ivoirien. Mais cette situation n'est que temporaire dans la mesure où mercredi, un arrivage de plus de 80 000 moutons est attendu. Information du reste confirmée par M. Dao Moussa de la filière bétail, qui a affirmé que 40 camions contenant 300 têtes chacun sont en route. Le déficit sera donc comblé. En comparaison, l'année dernière, des arrivages de 123 000 bêtes avaient été enregistrés, dont deux tiers du Burkina Faso, le reste est venu du Mali, de la Guinée et du Niger.
Au dire du ministre Adjoumani, le déficit sur le marché ivoirien s'explique par la crise qui a éclaté au Burkina Faso. Du fait de la fermeture des frontières, il en a résulté un retard dans le processus d'arrivage, toute chose qui a pour conséquences, le renchérissement des prix du mouton. "C'est la loi de l'offre et de la demande", a dit le ministre. "Plus il y a d'animaux, moins le prix est élevé. En revanche, moins il y a d'animaux, plus les prix sont élevés. Et le gouvernement ne peut pas imposer un prix aux commerçants."
Pour faire face à de tels désagréments, la solution que préconise Kobenan Adjoumani, c'est que la Côte d'Ivoire elle-même fasse l'élevage intensif de moutons, mais le climat semble ne pas être adapté. Avant de clore son propos, il a demandé à tous ceux qui veulent s'approvisionner en moutons de le faire mercredi. Du fait du nouvel arrivage, il pense que cela aura certainement une incidence sur les coûts.
A propos desdits coûts, le vice-gouverneur N'Cho Kouaoh, qui représentait le gouverneur Beugré Mambé, a indiqué que le District autonome d'Abidjan agit dans le sens de l'intérêt des clients. Pour cette raison, l'institution a supprimé les "faux frais" qui avaient pour conséquence d'augmenter les prix des moutons.