Les réponses de l’Etat de Côte d’Ivoire aux questionnaires de l’Office des Nations unies contre la drogue et le crime (Onudc) seront évaluées en vue d’établir le niveau de corruption en Côte d’Ivoire. L’évaluation des réponses vont contribuer au classement de la Côte d’Ivoire dans le monde par rapport à la corruption. C’est dans ce contexte que l’Onudc effectue une mission en Côte d’Ivoire où un atelier a été ouvert, le mercredi dernier, à lbis Plateau. L’atelier est relatif à la Convention des Nations unies contre la corruption (CNUCC) sur les chapitres III et IV.
Pour le ministre de l’Intérieur et de la Sécurité, Hamed Bakayoko, représentant le Premier ministre Kablan Duncan, la réussite de la visite des experts de l’Onudc constitue un enjeu majeur pour la Côte d’Ivoire «dans la mesure où les résultats de cet examen traduiront le niveau d’engagement de notre pays dans la lutte contre la corruption…». Quant à Jennifer Marie Sarvary Bradford, spécialiste de la prévention du crime et de la justice pénale de l’Onudc, elle a indiqué qu’il faut améliorer la capacité des Etats-parties à atteindre les objectifs énoncés et renforcer la coopération.
G.E.
Pour le ministre de l’Intérieur et de la Sécurité, Hamed Bakayoko, représentant le Premier ministre Kablan Duncan, la réussite de la visite des experts de l’Onudc constitue un enjeu majeur pour la Côte d’Ivoire «dans la mesure où les résultats de cet examen traduiront le niveau d’engagement de notre pays dans la lutte contre la corruption…». Quant à Jennifer Marie Sarvary Bradford, spécialiste de la prévention du crime et de la justice pénale de l’Onudc, elle a indiqué qu’il faut améliorer la capacité des Etats-parties à atteindre les objectifs énoncés et renforcer la coopération.
G.E.