Abidjan - Les États-Unis ont exécuté mercredi une condamnée à mort, Kelly Renée Gissendaner, malgré l’ultime appel à la clémence du pape François qui avait plaidé jeudi devant le Congrès américain pour l'abolition de la peine capitale, lors de sa visite de cinq jours.
Selon l’AFP, Kelly a été exécutée à 00H21 suivant l'ordre de la cour. Elle a émis une dernière déclaration et a demandé à faire une prière, a annoncé l’agence, citant la porte-parole de l'administration pénitentiaire de l'État de Géorgie, Gwendolyn Hogan.
La femme de 47 ans avait été reconnue coupable d'avoir comploté avec son amant pour assassiner son mari en 1997. Elle a reçu une injection létale, et devient la première femme exécutée depuis 1945 dans cet État du sud-est des États-Unis.
Les avocats de la condamnée ont en effet lutté d'arrache-pied sur le terrain judiciaire, jusqu'au dernier instant, ils ont bombardé de recours une cour d'appel fédérale, la cour suprême de la Géorgie et la Cour suprême nationale, saisies en urgence. Toutes ont refusé d'accorder un dernier sursis à Kelly Gissendaner.
akn/kam
Selon l’AFP, Kelly a été exécutée à 00H21 suivant l'ordre de la cour. Elle a émis une dernière déclaration et a demandé à faire une prière, a annoncé l’agence, citant la porte-parole de l'administration pénitentiaire de l'État de Géorgie, Gwendolyn Hogan.
La femme de 47 ans avait été reconnue coupable d'avoir comploté avec son amant pour assassiner son mari en 1997. Elle a reçu une injection létale, et devient la première femme exécutée depuis 1945 dans cet État du sud-est des États-Unis.
Les avocats de la condamnée ont en effet lutté d'arrache-pied sur le terrain judiciaire, jusqu'au dernier instant, ils ont bombardé de recours une cour d'appel fédérale, la cour suprême de la Géorgie et la Cour suprême nationale, saisies en urgence. Toutes ont refusé d'accorder un dernier sursis à Kelly Gissendaner.
akn/kam