La directrice nationale de campagne adjointe chargée de la mobilisation des femmes, Christine Konan, a opté pour la stratégie du porte-à-porte afin de glaner le maximum de voix des femmes pour le candidat du FPI, Pascal Affi N’Guessan, à la présidentielle du 25 octobre prochain. Dimanche dernier, elle était à Abobo Baoulé où elle a échangé avec les commerçantes du marché Cocovico. Elle s’est ensuite rendue à Yopougon pour «vendre» son candidat à l’Association des femmes du secteur gendarmerie des Toits Rouges. A ces femmes qui avaient soif d’informations pour, à leur tour, convaincre d’autres électrices, Christine Konan a donné des assurances sur la capacité du FPI à battre Alassane Ouattara sans se faire délester de sa victoire comme en 2010.
«Nous pouvons obtenir le changement maintenant avec Affi N’Guessan, dans la paix, sans faire la guerre. Et je vous assure que Ouattara ne pourra pas voler notre victoire», a-t-elle rassuré. «Il y a trop de misère dans notre pays. Aujourd’hui, il n’y a pas de paix dans les cœurs parce que les Ivoiriens ont de peur de se regarder. Et le chef de l’Etat, au lieu d’éliminer cette peur en posant des actes de paix, en mettant les Ivoiriens ensemble, il crée la division avec le Rattrapage, jette des Ivoiriens en prison etc. Nous, les femmes, nous devons dire, ça suffit ! Nous ne voulons plus voir nos enfants devenir des Microbes, nous voulons qu’ils aient du travail, nous ne voulons plus de marché cher, nous voulons la paix et la réconciliation. Pour dire ça suffit, allons voter ! C’est avec vos bulletins que nous changer notre pays qu’on ne reconnait plus», a-t-elle argumenté.
Mais, ces femmes ne doivent pas se tromper dans le choix du candidat, a-t-elle prévenu. «Nous devons Affi N’Guessan. Il a été jeté en prison à Bouna, il a été maltraité. Mais quand il est sorti, il n’a ni décidé de se venger, ni de prendre les armes pour mélanger le pays comme celui que vous connaissez. Donc, c’est lui qui peut ramener la paix et la réconciliation entre les Ivoiriens, éliminer la peur dans nos cœurs, mettre fin au Rattrapage ethnique. En plus, il a un bon programme pour les femmes. Notamment, la création de la Banque des métiers qui va prêter de l’argent à celles qui en ont besoin pour financer leurs activités. Ce ne sera pas une affaire de copinage comme on le voit avec ce régime», a promis Christine Konan. «Madame, vous pouvez repartir tranquille. On va faire le travail, et le 25 octobre, on se retrouvera pour fêter la victoire», ont répondu à chaque étape ces présidentes d’association.
Bruno Kouadio
«Nous pouvons obtenir le changement maintenant avec Affi N’Guessan, dans la paix, sans faire la guerre. Et je vous assure que Ouattara ne pourra pas voler notre victoire», a-t-elle rassuré. «Il y a trop de misère dans notre pays. Aujourd’hui, il n’y a pas de paix dans les cœurs parce que les Ivoiriens ont de peur de se regarder. Et le chef de l’Etat, au lieu d’éliminer cette peur en posant des actes de paix, en mettant les Ivoiriens ensemble, il crée la division avec le Rattrapage, jette des Ivoiriens en prison etc. Nous, les femmes, nous devons dire, ça suffit ! Nous ne voulons plus voir nos enfants devenir des Microbes, nous voulons qu’ils aient du travail, nous ne voulons plus de marché cher, nous voulons la paix et la réconciliation. Pour dire ça suffit, allons voter ! C’est avec vos bulletins que nous changer notre pays qu’on ne reconnait plus», a-t-elle argumenté.
Mais, ces femmes ne doivent pas se tromper dans le choix du candidat, a-t-elle prévenu. «Nous devons Affi N’Guessan. Il a été jeté en prison à Bouna, il a été maltraité. Mais quand il est sorti, il n’a ni décidé de se venger, ni de prendre les armes pour mélanger le pays comme celui que vous connaissez. Donc, c’est lui qui peut ramener la paix et la réconciliation entre les Ivoiriens, éliminer la peur dans nos cœurs, mettre fin au Rattrapage ethnique. En plus, il a un bon programme pour les femmes. Notamment, la création de la Banque des métiers qui va prêter de l’argent à celles qui en ont besoin pour financer leurs activités. Ce ne sera pas une affaire de copinage comme on le voit avec ce régime», a promis Christine Konan. «Madame, vous pouvez repartir tranquille. On va faire le travail, et le 25 octobre, on se retrouvera pour fêter la victoire», ont répondu à chaque étape ces présidentes d’association.
Bruno Kouadio