La 11ème édition du salon international des TIC « Africa Telecom People » s’est déroulé les 8 et 9 Octobre 2015 à Abidjan avec cette année le e-commerce à l’honneur. Marc Wabi, Associé responsable du bureau Deloitte Côte d’Ivoire, Habib Bamba, Directeur Conseil et Lucien Trazié, Senior Manager Conseil IT ont eu à intervenir au cours de ce forum.
Ils ont dévoilé la vision et les ambitions de Deloitte pour le secteur sur le continent, ainsi que les principaux freins et défis à surmonter afin que l’Afrique puisse pleinement profiter des avantages du commerce en ligne.
Deloitte estime ainsi que seulement 20% de la population africaine à accès à l’Internet contre 75% en Europe. Le chiffre d’affaires réalisé par le E-commerce en Afrique ne représente que 2% des ventes mondiales en ligne en 2015 avec une progression estimée à 3,5% en 2016.
Toutefois Deloitte anticipe une nette évolution du chiffre d’affaires du e-commerce en Afrique, évalué à 8 Milliards en 2013 et qui devrait selon les estimations atteindre 50 Milliards en 2018. Un bond qui illustre bien la progressive dynamisation du secteur.
Pour le cabinet, s’il est vrai que des freins existent notamment en ce qui concerne l’insuffisance des dispositifs règlementaires, des moyens de paiement ou des infrastructures de transport de l’information, les solutions à mettre en œuvre sont désormais connues.
Pour M. Marc Wabi, Directeur Général de Deloitte Côte d’Ivoire «il est nécessaire de développer des moyens de paiements électroniques en profitant notamment du développement du m-paiement en Afrique, mettre en place des tribunaux spécialisés sur les questions du commerce en ligne et encourager le développement de point relais pour la livraison des produits».
Le Ministre de la Poste et des Technologies de l’Information et de la Communication, Monsieur Bruno Koné, a auparavant officiellement introduit ces journées, en rappelant les actions significatives prises par le Gouvernement pour réunir toutes les conditions permettant de favoriser le commerce en ligne en Côte d’Ivoire avec notamment le développement des infrastructures avec les projets de backbone national et de fibre optique, la vulgarisation de l’accès à Internet avec le projet « un citoyen, un ordinateur, une connexion » et le lancement des cybercentres pilotes ainsi que les projets règlementaires avec notamment les lois sur les transactions électronique.
D.T
Ils ont dévoilé la vision et les ambitions de Deloitte pour le secteur sur le continent, ainsi que les principaux freins et défis à surmonter afin que l’Afrique puisse pleinement profiter des avantages du commerce en ligne.
Deloitte estime ainsi que seulement 20% de la population africaine à accès à l’Internet contre 75% en Europe. Le chiffre d’affaires réalisé par le E-commerce en Afrique ne représente que 2% des ventes mondiales en ligne en 2015 avec une progression estimée à 3,5% en 2016.
Toutefois Deloitte anticipe une nette évolution du chiffre d’affaires du e-commerce en Afrique, évalué à 8 Milliards en 2013 et qui devrait selon les estimations atteindre 50 Milliards en 2018. Un bond qui illustre bien la progressive dynamisation du secteur.
Pour le cabinet, s’il est vrai que des freins existent notamment en ce qui concerne l’insuffisance des dispositifs règlementaires, des moyens de paiement ou des infrastructures de transport de l’information, les solutions à mettre en œuvre sont désormais connues.
Pour M. Marc Wabi, Directeur Général de Deloitte Côte d’Ivoire «il est nécessaire de développer des moyens de paiements électroniques en profitant notamment du développement du m-paiement en Afrique, mettre en place des tribunaux spécialisés sur les questions du commerce en ligne et encourager le développement de point relais pour la livraison des produits».
Le Ministre de la Poste et des Technologies de l’Information et de la Communication, Monsieur Bruno Koné, a auparavant officiellement introduit ces journées, en rappelant les actions significatives prises par le Gouvernement pour réunir toutes les conditions permettant de favoriser le commerce en ligne en Côte d’Ivoire avec notamment le développement des infrastructures avec les projets de backbone national et de fibre optique, la vulgarisation de l’accès à Internet avec le projet « un citoyen, un ordinateur, une connexion » et le lancement des cybercentres pilotes ainsi que les projets règlementaires avec notamment les lois sur les transactions électronique.
D.T
