Abidjan - Le candidat Essy Amara, après avoir suspendu sa candidature le 06 octobre, a annoncé officiellement son retrait définitif de la course à l'élection présidentielle prévue le 25 octobre, estimant "urgent" d’appeler les responsables ivoiriens à la raison démocratique, "avant qu’il ne soit trop tard".
"72 heures après que le président-candidat eut engagé notre pays sur la voie sans issue d’une campagne en solitaire (…) ainsi que celui de son cercle rapproché, j’ai pris la décision du retrait sans délai de ma candidatu re à l’élection présidentielle du 25 octobre 2015", déclare M. Essy.
Pour le candidat Essy Amara, la suspension de sa participation au scrutin, avait pour unique condition de retour, des garanties indiscutables de transparence, d’équité et de sécurité pour tous les candidats et pour les Ivoiriens. "Mon ambition est de me tenir aux côtés des Ivoiriens dans cette période d’effondrement de notre démocratie", soutient-il.
"J’ai mesuré l’intensité de l’attente et de l’espoir suscités par ma candidature dans la Côte d’Ivoire profonde. J’ai espéré jusqu’au bout avec les Ivoiriens que le président-candidat accepterait une élection à la régulière (…), relève Essy Amara, qui fut ministre des Affaires étrang& egrave;res sous Félix Houphouet Boigny.
(AIP)
Kkf/ask
"72 heures après que le président-candidat eut engagé notre pays sur la voie sans issue d’une campagne en solitaire (…) ainsi que celui de son cercle rapproché, j’ai pris la décision du retrait sans délai de ma candidatu re à l’élection présidentielle du 25 octobre 2015", déclare M. Essy.
Pour le candidat Essy Amara, la suspension de sa participation au scrutin, avait pour unique condition de retour, des garanties indiscutables de transparence, d’équité et de sécurité pour tous les candidats et pour les Ivoiriens. "Mon ambition est de me tenir aux côtés des Ivoiriens dans cette période d’effondrement de notre démocratie", soutient-il.
"J’ai mesuré l’intensité de l’attente et de l’espoir suscités par ma candidature dans la Côte d’Ivoire profonde. J’ai espéré jusqu’au bout avec les Ivoiriens que le président-candidat accepterait une élection à la régulière (…), relève Essy Amara, qui fut ministre des Affaires étrang& egrave;res sous Félix Houphouet Boigny.
(AIP)
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