Georges Ezaley, directeur départemental de campagne de candidat du Rhdp dans le département de Grand-Bassam, est confiant. La victoire d’Alassane Ouattara, pour, lui, viendra également du département de Grand-Bassam. Dans cette interview, il appelle les militants du Rhdp à voter en conséquence pour améliorer le score de 2010.
Monsieur le maire Georges Ezaley, vous êtes le directeur départemental de campagne (Ddc) du département de Bassam. A une semaine du scrutin, est-ce que vous pouvez faire le bilan à mi-parcours ?
Pour le bilan à mi-parcours, je peux dire que la machine du Rhdp dans le département de Bassam est déployée. Elle est à une grande vitesse. Et je peux vous dire que les choses se passent bien. Partout où nous passons, nous avons un bon accueil, le retour est bon. Parce que notre candidat lui-même se vend bien à travers son bilan. Nos équipes sont assez mobilisées, elles occupent le terrain. Ce samedi, on a un grand meeting des femmes et des jeunes. Nous allons les mettre en mouvement pour une semaine. Ils auront les moyens pour faires du porte à porte partout. Dimanche, il y aura également un grand meeting à Bonoua, à Bongon le mercredi et on termine le jeudi 22 avec un autre meeting avec le directeur national de campagne, le premier ministre Ahoussou jeannot.
Peut-on dire que la machine est en marche pour ne plus s’arrêter ?
Oui, notre machine est en marche pour ratisser le plus large possible. Nos acquis sont les partisans du Rhdp, mais il faut aller chercher les indécis et les sympathisants. Nous devons travailler sur la question du taux de participation et mettre également l’accent sur la formation pour éviter les bulletins nuls et faire en sorte que le 25 octobre, le sud-Comoé puisse faire mieux qu’en 2010. Parce qu’il faut le reconnaitre, le département et même la région n’a pas un bon score en 2010
Un grand défi à relever ?
Bien sûr. Cette fois-ci, nous devons faire beaucoup mieux qu’en 2010 pour que le département de Grand-Bassam et la région du sud-Comoé puissent être dans le train du développement. Tout est parti de Bassam et donc nous n’avons pas le droit de décevoir. Il faut que le 25 octobre nous puissions un score honorable, pour cela nous allons ratisser, ratisser et ratisser
Pour atteindre cet objet cet objectif, il faut bien que vos militants et sympathisants aient leur cartes d’électeur. A ce niveau, quel est le constat dans votre département ?
Nous avons une commission électorale au niveau du Rhdp qui s’occupe de cette question. Nos militants sont sensibilisés à, aller retirer leurs cartes d’électeur. Dans le dispositif de la CEI, il y a eu un petit retard. Mais depuis quelques jours, les militants vont chercher les cartes. Certains avaient pensé que ce sont seulement ceux qui s’étaient inscrits nouvellement sur les listes qui étaient concernés. Or, ce n’est pas le cas. Tout le monde est concerné, les anciens comme les nouveaux. Il y a eu un déficit de communication qu’il faut vite régler. Les anciennes cartes d’électeur ne sont plus valables.
Monsieur le maire Georges Ezaley, vous êtes le directeur départemental de campagne (Ddc) du département de Bassam. A une semaine du scrutin, est-ce que vous pouvez faire le bilan à mi-parcours ?
Pour le bilan à mi-parcours, je peux dire que la machine du Rhdp dans le département de Bassam est déployée. Elle est à une grande vitesse. Et je peux vous dire que les choses se passent bien. Partout où nous passons, nous avons un bon accueil, le retour est bon. Parce que notre candidat lui-même se vend bien à travers son bilan. Nos équipes sont assez mobilisées, elles occupent le terrain. Ce samedi, on a un grand meeting des femmes et des jeunes. Nous allons les mettre en mouvement pour une semaine. Ils auront les moyens pour faires du porte à porte partout. Dimanche, il y aura également un grand meeting à Bonoua, à Bongon le mercredi et on termine le jeudi 22 avec un autre meeting avec le directeur national de campagne, le premier ministre Ahoussou jeannot.
Peut-on dire que la machine est en marche pour ne plus s’arrêter ?
Oui, notre machine est en marche pour ratisser le plus large possible. Nos acquis sont les partisans du Rhdp, mais il faut aller chercher les indécis et les sympathisants. Nous devons travailler sur la question du taux de participation et mettre également l’accent sur la formation pour éviter les bulletins nuls et faire en sorte que le 25 octobre, le sud-Comoé puisse faire mieux qu’en 2010. Parce qu’il faut le reconnaitre, le département et même la région n’a pas un bon score en 2010
Un grand défi à relever ?
Bien sûr. Cette fois-ci, nous devons faire beaucoup mieux qu’en 2010 pour que le département de Grand-Bassam et la région du sud-Comoé puissent être dans le train du développement. Tout est parti de Bassam et donc nous n’avons pas le droit de décevoir. Il faut que le 25 octobre nous puissions un score honorable, pour cela nous allons ratisser, ratisser et ratisser
Pour atteindre cet objet cet objectif, il faut bien que vos militants et sympathisants aient leur cartes d’électeur. A ce niveau, quel est le constat dans votre département ?
Nous avons une commission électorale au niveau du Rhdp qui s’occupe de cette question. Nos militants sont sensibilisés à, aller retirer leurs cartes d’électeur. Dans le dispositif de la CEI, il y a eu un petit retard. Mais depuis quelques jours, les militants vont chercher les cartes. Certains avaient pensé que ce sont seulement ceux qui s’étaient inscrits nouvellement sur les listes qui étaient concernés. Or, ce n’est pas le cas. Tout le monde est concerné, les anciens comme les nouveaux. Il y a eu un déficit de communication qu’il faut vite régler. Les anciennes cartes d’électeur ne sont plus valables.