La campagne présidentielle a été lancée depuis le 09 octobre dernier, déjà quel bilan faites-vous au niveau du terrain ?
En tout cas nous nous avons eu la chance, au niveau du Moronou d’avoir reçu la visite du Président de la République, le candidat Alassane Ouattara, au lendemain du lancement officiel de sa campagne puisqu’il est venu à Bongouanou, la capitale du Moronou, où il a vraiment tenu un grand meeting.
Et vous avez vu la mobilisation était extraordinaire, puisqu’il y a eu plus de soixante mille personnes qui l’ont accueilli, parce qu’il y a longtemps que le peuple Moroufoué l’attendait. Et, ce peuple voulait communier avec lui et démontrer que ce qu’on dit, à savoir que Bongouanou est un bastion du FPI, est plus de la litanie que de la vérité.
Donc on est sorti nombreux. Après ça, comme il nous ouvert la voix, nous avons continué le lendemain dimanche. Il y a eu le DNC (Directeur national de campagne), le Premier ministre Ahoussou Jeannot qui est venu également à Bongouanou, en passant par Arrah et M’Batto. Nous ne sommes pas arrêtés là, nous continuons à travers des activités intenses que nous menons sur le terrain.
L’histoire récente des élections en Côte d’Ivoire a démontré que Bongouanou n’est pas forcément pour le RHDP puisque les élections de 2010, nous ont prouvé le contraire, que faites-vous pour inverser cette tendance ?
Mais, c’est ce que faisons, je vous ai dit que nous prenons le terrain pour expliquer à nos parents de ne pas se tromper. Ils se sont trompés en 2010, faut pas qu’ils le fassent en 2015, ‘’on dit premier gaou n’est pas gaou’’, vous savez bien ce que cela signifie.
L’un des fils de votre région est dans l’actuelle course à la présidentielle, c’est vrai que le fondateur du parti n’est pas là et c’est votre fils qui est à la tête de parti là en ce moment, avez-vous des inquiétudes ?
Non, nous n’avons pas d’inquiétude. Bon écoutez, ils sont restés dix ans à la tête du pays, qu’est-ce qu’ils ont apporté au Moronou pendant ces dix années?
C’est ce que nous allons demander aux parents, c’est cette question que nous allons poser aux parents. En dix ans ils n’ont rien fait et en quatre et demi on a vu ce que Ouattara a fait. Donc il vaut mieux aller vers celui qui s’est préparé, qui prépare bien et vous donne à manger, qu’ailleurs.
Pour le Moronou, qu’est-ce qui est prévu pour les prochaines années au sujet de ce le Président Alassane Ouattara a promis, quelles sont les priorités que vous allez défendre ?
Ah ! Il a promis beaucoup de choses. Les priorités de développement de la Côte d’Ivoire sont les mêmes partout. C’est vraiment les mêmes partout. Partout où vous partez on vous parle de route, d’hôpital, d’école, d’eau potable, d’électrification. C’est exactement les mêmes choses au niveau du Moronou.
Ici, nous lui avons donné un livre blanc et il a promis au cours du meeting qu’’’au deuxième mandat, je ferai tout pour que l’essentiel de ce qui est contenu dans votre livre blanc soit réalisé’’ a promis le candidat ADO. Mais là aussi je ne vous apprends rien, on dit ce que Ouattara dit, il le fait. Et nous sommes rassurés et surs qu’il va le faire. C’est pour ça que nous devons nous battre pour le faire élire triomphalement.
Avant de terminer, un mot sur le désistement de certains candidats en pleine campagne comme à la veille de ces élections-là ?
Moi, je pense que c’est des gens qui ont décidé d’être candidat et pour des analyses personnelles qu’ils ont faites, ils ont décidé de se retirer. Ecoutez, moi je n’ai aucun commentaire là-dessus.
Votre message aux populations du Moronou ?
Je demande aux populations du Moronou de voter le développement. Et, le développement c’est Alassane Ouattara et on l’a vu. Je leur demande de ne pas se tromper parce que si les habitants du Moronou votent quelqu’un d’autre, ils auraient gaspillé leurs voix de façon inutile. Donc, il faut qu’ils votent utile, celui qui pourrait leur apporter quelque chose.
Entretien réalisé par Robert KRA
En tout cas nous nous avons eu la chance, au niveau du Moronou d’avoir reçu la visite du Président de la République, le candidat Alassane Ouattara, au lendemain du lancement officiel de sa campagne puisqu’il est venu à Bongouanou, la capitale du Moronou, où il a vraiment tenu un grand meeting.
Et vous avez vu la mobilisation était extraordinaire, puisqu’il y a eu plus de soixante mille personnes qui l’ont accueilli, parce qu’il y a longtemps que le peuple Moroufoué l’attendait. Et, ce peuple voulait communier avec lui et démontrer que ce qu’on dit, à savoir que Bongouanou est un bastion du FPI, est plus de la litanie que de la vérité.
Donc on est sorti nombreux. Après ça, comme il nous ouvert la voix, nous avons continué le lendemain dimanche. Il y a eu le DNC (Directeur national de campagne), le Premier ministre Ahoussou Jeannot qui est venu également à Bongouanou, en passant par Arrah et M’Batto. Nous ne sommes pas arrêtés là, nous continuons à travers des activités intenses que nous menons sur le terrain.
L’histoire récente des élections en Côte d’Ivoire a démontré que Bongouanou n’est pas forcément pour le RHDP puisque les élections de 2010, nous ont prouvé le contraire, que faites-vous pour inverser cette tendance ?
Mais, c’est ce que faisons, je vous ai dit que nous prenons le terrain pour expliquer à nos parents de ne pas se tromper. Ils se sont trompés en 2010, faut pas qu’ils le fassent en 2015, ‘’on dit premier gaou n’est pas gaou’’, vous savez bien ce que cela signifie.
L’un des fils de votre région est dans l’actuelle course à la présidentielle, c’est vrai que le fondateur du parti n’est pas là et c’est votre fils qui est à la tête de parti là en ce moment, avez-vous des inquiétudes ?
Non, nous n’avons pas d’inquiétude. Bon écoutez, ils sont restés dix ans à la tête du pays, qu’est-ce qu’ils ont apporté au Moronou pendant ces dix années?
C’est ce que nous allons demander aux parents, c’est cette question que nous allons poser aux parents. En dix ans ils n’ont rien fait et en quatre et demi on a vu ce que Ouattara a fait. Donc il vaut mieux aller vers celui qui s’est préparé, qui prépare bien et vous donne à manger, qu’ailleurs.
Pour le Moronou, qu’est-ce qui est prévu pour les prochaines années au sujet de ce le Président Alassane Ouattara a promis, quelles sont les priorités que vous allez défendre ?
Ah ! Il a promis beaucoup de choses. Les priorités de développement de la Côte d’Ivoire sont les mêmes partout. C’est vraiment les mêmes partout. Partout où vous partez on vous parle de route, d’hôpital, d’école, d’eau potable, d’électrification. C’est exactement les mêmes choses au niveau du Moronou.
Ici, nous lui avons donné un livre blanc et il a promis au cours du meeting qu’’’au deuxième mandat, je ferai tout pour que l’essentiel de ce qui est contenu dans votre livre blanc soit réalisé’’ a promis le candidat ADO. Mais là aussi je ne vous apprends rien, on dit ce que Ouattara dit, il le fait. Et nous sommes rassurés et surs qu’il va le faire. C’est pour ça que nous devons nous battre pour le faire élire triomphalement.
Avant de terminer, un mot sur le désistement de certains candidats en pleine campagne comme à la veille de ces élections-là ?
Moi, je pense que c’est des gens qui ont décidé d’être candidat et pour des analyses personnelles qu’ils ont faites, ils ont décidé de se retirer. Ecoutez, moi je n’ai aucun commentaire là-dessus.
Votre message aux populations du Moronou ?
Je demande aux populations du Moronou de voter le développement. Et, le développement c’est Alassane Ouattara et on l’a vu. Je leur demande de ne pas se tromper parce que si les habitants du Moronou votent quelqu’un d’autre, ils auraient gaspillé leurs voix de façon inutile. Donc, il faut qu’ils votent utile, celui qui pourrait leur apporter quelque chose.
Entretien réalisé par Robert KRA