Le président du Front populaire ivoirien,(FPI, opposition ) et candidat à la présidentielle d'octobre, Pascal Affi N'guessan, s'est engagé lundi à supprimer "le rattrapage" (ethnique) et instituer "le sens du mérite" dans la gestion de l'administration publique et s'il est élu a l'issu du scrutin, lors d'un meeting à Cocody (Est-d'Abidjan).
"Nous allons enterrer le rattrapage pour que tous les ivoirien aient de la part de L'Etat ce qu'ils méritent", a annoncé Affi N'guessan à Cocody-Blokauss (village) devant près de 200 personnes.
M.Affi accuse le Chef de l'Etat sortant Alassane Ouattara d'attribuer "des postes de responsabilités" aux personnes appartenant à son groupe ethnique au détriment des autres (groupes ethniques), ce qui "divise" et met à mal la cohésion sociale.
Le chef du parti fondé par l'ex-président Laurent Gbagbo envisage mettre chaque ivoirien à "son poste" pour rétablir "la justice , la paix et la stabilité" au soir du 25 octobre.
La campagne électorale qui a débuté le 9 octobre devrait s'achever le 23, soit 2 jours avant le scrutin.
Affi N'guessan sera opposé à 7 autres candidats dont M.Ouattara qui brigue un second mandat et l'ex-Premier ministre Charles Konan Banny.
DEK
"Nous allons enterrer le rattrapage pour que tous les ivoirien aient de la part de L'Etat ce qu'ils méritent", a annoncé Affi N'guessan à Cocody-Blokauss (village) devant près de 200 personnes.
M.Affi accuse le Chef de l'Etat sortant Alassane Ouattara d'attribuer "des postes de responsabilités" aux personnes appartenant à son groupe ethnique au détriment des autres (groupes ethniques), ce qui "divise" et met à mal la cohésion sociale.
Le chef du parti fondé par l'ex-président Laurent Gbagbo envisage mettre chaque ivoirien à "son poste" pour rétablir "la justice , la paix et la stabilité" au soir du 25 octobre.
La campagne électorale qui a débuté le 9 octobre devrait s'achever le 23, soit 2 jours avant le scrutin.
Affi N'guessan sera opposé à 7 autres candidats dont M.Ouattara qui brigue un second mandat et l'ex-Premier ministre Charles Konan Banny.
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