Korhogo – Assis sous un ombrage, dans la cour d’un de tennis-club de Korhogo, une douzaine de responsables locaux de campagne d’Affi N’Guessan, président du Front populaire ivoirien (FPI) qui brigue la magistrature suprême, discutent autour d’une rangée de tables.
Un seul parmi eux, Coulibaly Lazéni, directeur départemental de campagne, porte une chemise à l’effigie du candidat. Aucun autre signe extérieur ne vient évoquer la campagne électorale en cours, mis à part deux véhicules de type 4x4, recouverts de photos du candidat Affi N’Guessan, garés un peu plus loin. Autour d’eux, dans la vaste cour ce club de loisir, les clients et visiteurs vaquent à leurs occupations, dans l’indifférence.
"Nous menons une campagne civilisée et de proximité", confie Silué Moussa, le chef de cabinet du directeur régional de campagne. Selon lui, l’efficacité d’une campagne électorale ne repose pas sur le bruit qui est fait à travers la ville, mais sur la pêche précise et "bien ciblée" aux électeurs. "C’est ce que nous faisons", assure-t-il. Depuis l’ouverture de la campagne, quelques supporters du candidat du FPI se montrent par intermittence dans la ville. Sans tambour ni trompette, a-t-on constaté.
Pour la campagne en cours, le camp Affi N’Guessan n’a pas installé de quartier général. Pour M. Silué, cela n’entame en rien l’efficacité de la campagne. "Le FPI est un parti organisé, cela ne pose aucun problème", affirme t-il, assurant que les équipes de campagne de son candidat sont plus actives dans les quartiers et autres localités de la région. " Nos militants sont là. Ils iront voter le 25 octobre", soutient le chef de cabinet du directeur départemental de campagne d’Affi N’Guessan.
kaem/ask
Un seul parmi eux, Coulibaly Lazéni, directeur départemental de campagne, porte une chemise à l’effigie du candidat. Aucun autre signe extérieur ne vient évoquer la campagne électorale en cours, mis à part deux véhicules de type 4x4, recouverts de photos du candidat Affi N’Guessan, garés un peu plus loin. Autour d’eux, dans la vaste cour ce club de loisir, les clients et visiteurs vaquent à leurs occupations, dans l’indifférence.
"Nous menons une campagne civilisée et de proximité", confie Silué Moussa, le chef de cabinet du directeur régional de campagne. Selon lui, l’efficacité d’une campagne électorale ne repose pas sur le bruit qui est fait à travers la ville, mais sur la pêche précise et "bien ciblée" aux électeurs. "C’est ce que nous faisons", assure-t-il. Depuis l’ouverture de la campagne, quelques supporters du candidat du FPI se montrent par intermittence dans la ville. Sans tambour ni trompette, a-t-on constaté.
Pour la campagne en cours, le camp Affi N’Guessan n’a pas installé de quartier général. Pour M. Silué, cela n’entame en rien l’efficacité de la campagne. "Le FPI est un parti organisé, cela ne pose aucun problème", affirme t-il, assurant que les équipes de campagne de son candidat sont plus actives dans les quartiers et autres localités de la région. " Nos militants sont là. Ils iront voter le 25 octobre", soutient le chef de cabinet du directeur départemental de campagne d’Affi N’Guessan.
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