Le président du Front populaire ivoirien (FPI, opposition), candidat à la présidentielle du dimanche, Affi N’Guessan s’est engagé mardi à "respecter le verdict des urnes" à l'issue du scrutin, lors d’une rencontre avec des chefs d’entreprises, à Abidjan.
"Comptez sur nous, nous respecterons le verdict des urnes", a indiqué Affi N’Guessan ajoutant que son parti "n’entrera pas dans une logique de troubles" après le scrutin, devant une cinquantaine de chefs d’entreprises.
M. Affi s’exprimait devant la Confédération générale des entreprises de Côte d’Ivoire (CGECI) qui reçoit les candidats à l’élection présidentielle dans le cadre d’une tribune intitulée "Face au patronat", après le chef de l’Etat Alassane Ouattara, candidat à sa succession.
Le chef du parti fondé par l’ex-président ivoirien Laurent Gbagbo qui dit avoir fait "le choix de la stabilité, l’apaisement" en dépit de "l’appel" de certains de ses camarades à "adopter une autre ligne", a ajouté "être pour la paix et la démocratie."
Le Front populaire ivoirien est en proie à des dissensions depuis 2014 ; depuis que la candidature de Affi N’Guessan à la présidence du parti a été rejetée par des cadres au profit de Laurent Gbagbo, fondateur de la formation politique.
"Si nous perdons les élections, il n’y a pas de raisons de mettre la Côte d’Ivoire à feu et à sang", a-t-il souligné.
L’élection présidentielle de 2010 s’est soldée par une crise post-électorale et a fait officiellement 3.000 morts.
A la présidentielle du dimanche, l’ex-Premier ministre Affi N’Guessan sera face à sept autres candidats dont le président sortant Alassane Ouattara, ou encore Charles Konan Banny, l'ex-gouverneur de la Banque centrale des Etats de l’Afrique de l’Ouest (BCEAO).
Ouverte le 09 octobre, la campagne électorale devrait s’achever vendredi à minuit.
ABL
"Comptez sur nous, nous respecterons le verdict des urnes", a indiqué Affi N’Guessan ajoutant que son parti "n’entrera pas dans une logique de troubles" après le scrutin, devant une cinquantaine de chefs d’entreprises.
M. Affi s’exprimait devant la Confédération générale des entreprises de Côte d’Ivoire (CGECI) qui reçoit les candidats à l’élection présidentielle dans le cadre d’une tribune intitulée "Face au patronat", après le chef de l’Etat Alassane Ouattara, candidat à sa succession.
Le chef du parti fondé par l’ex-président ivoirien Laurent Gbagbo qui dit avoir fait "le choix de la stabilité, l’apaisement" en dépit de "l’appel" de certains de ses camarades à "adopter une autre ligne", a ajouté "être pour la paix et la démocratie."
Le Front populaire ivoirien est en proie à des dissensions depuis 2014 ; depuis que la candidature de Affi N’Guessan à la présidence du parti a été rejetée par des cadres au profit de Laurent Gbagbo, fondateur de la formation politique.
"Si nous perdons les élections, il n’y a pas de raisons de mettre la Côte d’Ivoire à feu et à sang", a-t-il souligné.
L’élection présidentielle de 2010 s’est soldée par une crise post-électorale et a fait officiellement 3.000 morts.
A la présidentielle du dimanche, l’ex-Premier ministre Affi N’Guessan sera face à sept autres candidats dont le président sortant Alassane Ouattara, ou encore Charles Konan Banny, l'ex-gouverneur de la Banque centrale des Etats de l’Afrique de l’Ouest (BCEAO).
Ouverte le 09 octobre, la campagne électorale devrait s’achever vendredi à minuit.
ABL