Bien que la loi ne prévoie aucun plafond pour les dépenses, le président promet de se limiter et assure ne pas profiter des facilités de l'État. Ses rivaux en doutent.
Ce 2 octobre, lors d’un petit-déjeuner au restaurant Bandama de l’hôtel Président de Yamoussoukro, Ally Coulibaly, le ministre de l’Intégration africaine et des Ivoiriens de l’extérieur, interpelle son collègue Jean-Louis Billon, capitaine d’industrie et ministre du Commerce. « Jean-Louis, au fait, quand vas-tu payer ta contribution pour la campagne ? » Éclats de rire de Billon, qui promet de se mettre à jour au plus vite…
Comme lui, tous les cadres et militants de la coalition au pouvoir ont été sollicités. Objectif : lever des fonds pour financer la campagne du chef de l’État sortant,... suite de l'article sur Jeune Afrique
Ce 2 octobre, lors d’un petit-déjeuner au restaurant Bandama de l’hôtel Président de Yamoussoukro, Ally Coulibaly, le ministre de l’Intégration africaine et des Ivoiriens de l’extérieur, interpelle son collègue Jean-Louis Billon, capitaine d’industrie et ministre du Commerce. « Jean-Louis, au fait, quand vas-tu payer ta contribution pour la campagne ? » Éclats de rire de Billon, qui promet de se mettre à jour au plus vite…
Comme lui, tous les cadres et militants de la coalition au pouvoir ont été sollicités. Objectif : lever des fonds pour financer la campagne du chef de l’État sortant,... suite de l'article sur Jeune Afrique