La direction nationale de campagne du candidat du Rassemblement des houphouétistes pour la démocratie et la paix (Rhdp) dirigée par Amadou Gon Coulibaly et Jeannot Kouadio Ahoussou a animé une conférence de presse le jeudi 22 octobre 2015 au QG de campagne à la Maison du Pdci pour dresser le bilan de la campagne présidentielle qui prend fin, aujourd’hui, vendredi 23 octobre.
Dans les propos liminaires, le directeur national de campagne associé Jeannot Kouadio Ahoussou s’est félicité du fait que la campagne se déroule dans un climat paisible, sans heurt, ni violence. Il a fait savoir que la campagne est l’occasion pour les candidats de dresser leur bilan, mais également de critiquer celui de leurs adversaires. Toutefois, il estime que l’ampleur et la gravité des propos tenus par certains des candidats interpellent et ne sauraient restés sans réaction. « Devenir Président exige beaucoup plus de ceux qui ne se rendent même pas compte que les 20 000 milliards de F CFA de recettes qu’ils projettent tirer de l’attieké représentent 4 fois le budget actuel de la Côte d’Ivoire. Devenir Président exige plus que ceux qui n’ont aucun bilan après leur passage à la Primature et qui n’ont pas la décence de proposer un projet chiffré aux Ivoiriens, se contentant de balancer sans réfléchir des idées », a déploré Jeannot Kouadio Ahoussou .Dans les échanges et réagissant sur la décision prise par Mamadou Koulibaly de mener le combat contre la fraude, le directeur national de campagne associé a laissé entendre que la Commission électorale indépendante est très équilibrée. « Mamadou Koulibaly ferait mieux d’aller prendre la craie que de faire la politique », a-t-il conseillé. Parlant de Banny, il a signalé que sa dernière participation au bureau politique du Pdci date du 14 juillet 2010. « En 2015, il se lève et va à la Cnc. C’est pourquoi il parle de doublons. Il voit des doublons partout. C’est cela son problème », a-t-il dit faisant allusion à la déclaration faite par le candidat Banny relative à l’existence de 792 doublons sur la liste électorale. Jeannot Kouadio Ahoussou et Amadou Gon avait à leurs côtés les directeurs nationaux adjoints de campagne que sont Hamed Bakayoko, Adama Bictogo, Akossi Benjo et Amah Téhoua.
Abdoulaye Touré
Dans les propos liminaires, le directeur national de campagne associé Jeannot Kouadio Ahoussou s’est félicité du fait que la campagne se déroule dans un climat paisible, sans heurt, ni violence. Il a fait savoir que la campagne est l’occasion pour les candidats de dresser leur bilan, mais également de critiquer celui de leurs adversaires. Toutefois, il estime que l’ampleur et la gravité des propos tenus par certains des candidats interpellent et ne sauraient restés sans réaction. « Devenir Président exige beaucoup plus de ceux qui ne se rendent même pas compte que les 20 000 milliards de F CFA de recettes qu’ils projettent tirer de l’attieké représentent 4 fois le budget actuel de la Côte d’Ivoire. Devenir Président exige plus que ceux qui n’ont aucun bilan après leur passage à la Primature et qui n’ont pas la décence de proposer un projet chiffré aux Ivoiriens, se contentant de balancer sans réfléchir des idées », a déploré Jeannot Kouadio Ahoussou .Dans les échanges et réagissant sur la décision prise par Mamadou Koulibaly de mener le combat contre la fraude, le directeur national de campagne associé a laissé entendre que la Commission électorale indépendante est très équilibrée. « Mamadou Koulibaly ferait mieux d’aller prendre la craie que de faire la politique », a-t-il conseillé. Parlant de Banny, il a signalé que sa dernière participation au bureau politique du Pdci date du 14 juillet 2010. « En 2015, il se lève et va à la Cnc. C’est pourquoi il parle de doublons. Il voit des doublons partout. C’est cela son problème », a-t-il dit faisant allusion à la déclaration faite par le candidat Banny relative à l’existence de 792 doublons sur la liste électorale. Jeannot Kouadio Ahoussou et Amadou Gon avait à leurs côtés les directeurs nationaux adjoints de campagne que sont Hamed Bakayoko, Adama Bictogo, Akossi Benjo et Amah Téhoua.
Abdoulaye Touré
