Grand-Bassam (Côte d’Ivoire) - La fête populaire et de réjouissance des N'zima (peuple du Sud de la Côte d’Ivoire), l’Abissa, a démarré, dimanche, à Grand-Bassam, ville historique située à une vingtaine de km au Sud d’Abidjan et inscrite au patrimoine mondiale de l'Organisation des Nations unies pour l'éducation, la science et la culture (UNESCO).
Ce démarrage de l'Abissa, a été marqué par la sortie de retraite du Tam-tam sacré ou l'Edo-N'gbolé après avoir passé une semaine dans le bois sacré. Il a été remis au peuple par Sa majesté le Roi Désiré Amon Tanoé.
L'édition 2015 de ces festivités se déroule autour du thème, « les sept familles, source de l'unité du peuple N'zima » en référence aux sept familles qui composent le peuple N'zima à savoir les N'Vavilé, les Alonhoba, les Ezohilé, les Azanhoulé, les Mafoué, les Ndjuaffo et Adanhonlin.
Plusieurs journées thématiques sont au menu de cette célébration dont l'apothéose est prévue le 8 novembre prochain avec la cérémonie d'au revoir de l'Abissa.
La journée de lundi a été dédiée à la jeunesse, « gage de la perpétuation et du dynamise des familles ».« La femme, mémoire de la famille» est également l'une des thématiques inscrites dans le programme de ces festivités.
L'Abissa qui marqua la fin et le début de la nouvelle année du peuple N'zima Kôtôkô, est une fête traditionnelle de réjouissance et partage des civilisations africaines à travers des danses et des critiques sociales.
LS/sy/APA
Ce démarrage de l'Abissa, a été marqué par la sortie de retraite du Tam-tam sacré ou l'Edo-N'gbolé après avoir passé une semaine dans le bois sacré. Il a été remis au peuple par Sa majesté le Roi Désiré Amon Tanoé.
L'édition 2015 de ces festivités se déroule autour du thème, « les sept familles, source de l'unité du peuple N'zima » en référence aux sept familles qui composent le peuple N'zima à savoir les N'Vavilé, les Alonhoba, les Ezohilé, les Azanhoulé, les Mafoué, les Ndjuaffo et Adanhonlin.
Plusieurs journées thématiques sont au menu de cette célébration dont l'apothéose est prévue le 8 novembre prochain avec la cérémonie d'au revoir de l'Abissa.
La journée de lundi a été dédiée à la jeunesse, « gage de la perpétuation et du dynamise des familles ».« La femme, mémoire de la famille» est également l'une des thématiques inscrites dans le programme de ces festivités.
L'Abissa qui marqua la fin et le début de la nouvelle année du peuple N'zima Kôtôkô, est une fête traditionnelle de réjouissance et partage des civilisations africaines à travers des danses et des critiques sociales.
LS/sy/APA
