Grand-Bassam - La 4ème édition du Festival international du film des lacs et des lagunes 2015 (FESTILAG) a été lancée samedi à Grand-Bassam par sa présidente, Naky Sy Savané, lors d’une conférence de presse qu’elle co-animée avec le délégué général, Kélétigui Coulibaly, sur le thème « Cinéma et renaissance économique ».
« Cette année, le FESTILAG souhaite mettre en avant le repositionnement de l’image de la Côte d’Ivoire avec le binôme cinéma et éco-tourisme », a déclaré Naky Sy Savané. Elle a assuré que les moyens sont réunis pour y parvenir, notamment avec les projections à faire dans plusieurs communes, la valorisation et l’exploitation du plan d’eau lagunaire et le « référencement de la Côte d’Ivoire par les personnalités et cinéastes », mais surtout avec le soutien du ministère de la Culture et de la Francophonie.
« L’innovation de cette édition, ajoute-t-elle, réside dans l’atelier de formation costume qui sera accompagné d’un master classe sur le jeu d’acteur et une autre sur le scenario ». Elle a justifié le choix de la ville de Grand-Bassam par le fait que c’est dans cette cité que se trouve la première salle de cinéma du pays. « C’est une ville symbole avec la marche historique des femmes et c’est parce qu’elle est la seule ville de Côte d’Ivoire inscrite au patrimoine mondial de l’UNESCO », a-t-elle poursuivi.
Selon le délégué général, après les trois premières éditions consacrées a la réconciliation et à la cohésion sociale, l’heure est venue pour la relance de l’industrie du cinéma en Côte d’ivoire. Et ce, avec des films qui ressemblent, c’est-à-dire des films et documentaires représentent les réalités sociales ivoiriennes qui plairont aux jeunes.
(AIP)
ko/cmas
« Cette année, le FESTILAG souhaite mettre en avant le repositionnement de l’image de la Côte d’Ivoire avec le binôme cinéma et éco-tourisme », a déclaré Naky Sy Savané. Elle a assuré que les moyens sont réunis pour y parvenir, notamment avec les projections à faire dans plusieurs communes, la valorisation et l’exploitation du plan d’eau lagunaire et le « référencement de la Côte d’Ivoire par les personnalités et cinéastes », mais surtout avec le soutien du ministère de la Culture et de la Francophonie.
« L’innovation de cette édition, ajoute-t-elle, réside dans l’atelier de formation costume qui sera accompagné d’un master classe sur le jeu d’acteur et une autre sur le scenario ». Elle a justifié le choix de la ville de Grand-Bassam par le fait que c’est dans cette cité que se trouve la première salle de cinéma du pays. « C’est une ville symbole avec la marche historique des femmes et c’est parce qu’elle est la seule ville de Côte d’Ivoire inscrite au patrimoine mondial de l’UNESCO », a-t-elle poursuivi.
Selon le délégué général, après les trois premières éditions consacrées a la réconciliation et à la cohésion sociale, l’heure est venue pour la relance de l’industrie du cinéma en Côte d’ivoire. Et ce, avec des films qui ressemblent, c’est-à-dire des films et documentaires représentent les réalités sociales ivoiriennes qui plairont aux jeunes.
(AIP)
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