Le Président de l’Assemblée nationale ivoirienne Guillaume Kigbafori Soro a affirmé, mardi, à Abidjan n’avoir à ce jour reçu "aucune convocation" de la justice française dans le cadre d’une plainte de Michel Gbagbo, le fils de l’ex-chef de l’Etat ivoirien Laurent Gbagbo.
« J'ai lu dans la presse qu'effectivement un juge en France me convoquait » a déclaré M. Soro interrogé par la presse à l'issue d'une rencontre avec des chefs traditionnels d'Agboville, ville située à une cinquantaine de km au Nord-Est d'Abidjan.
« Je crois que c'est l'avocate Habiba Touré qui avait fait cette conférence (de presse). Je me suis demandé si elle était l'avocate de Michel Gbagbo ou mon avocat », a poursuivi le Président de l'Assemblée nationale ivoirienne Guillaume Kigbafori Soro.
« J'ai appelé le Ministère des affaires étrangères et le ministère de la justice, s'il y avait une commission rogatoire internationale sur cette affaire. Je n'en ai pas eu connaissance.Je pense que depuis 1961, la Côte d'Ivoire a un accord en matière de coopération de justice avec la France » a-t-il rappelé.
« Pour le moment, personnellement, je n'ai reçu aucune convocation », a précisé M. Soro ajoutant qu'il ne peut pas «répondre» à une convocation qui ne lui a jamais été adressée.
Selon la presse nationale, M. Soro est convoqué le 24 novembre prochain devant la justice française dans le cadre de la plainte de Michel Gbagbo qui dit avoir subi un traitement inhumain pendant la crise post électorale de décembre 2010 à avril 2011, ayant fait plus de 3000 morts.
LS/APA
« J'ai lu dans la presse qu'effectivement un juge en France me convoquait » a déclaré M. Soro interrogé par la presse à l'issue d'une rencontre avec des chefs traditionnels d'Agboville, ville située à une cinquantaine de km au Nord-Est d'Abidjan.
« Je crois que c'est l'avocate Habiba Touré qui avait fait cette conférence (de presse). Je me suis demandé si elle était l'avocate de Michel Gbagbo ou mon avocat », a poursuivi le Président de l'Assemblée nationale ivoirienne Guillaume Kigbafori Soro.
« J'ai appelé le Ministère des affaires étrangères et le ministère de la justice, s'il y avait une commission rogatoire internationale sur cette affaire. Je n'en ai pas eu connaissance.Je pense que depuis 1961, la Côte d'Ivoire a un accord en matière de coopération de justice avec la France » a-t-il rappelé.
« Pour le moment, personnellement, je n'ai reçu aucune convocation », a précisé M. Soro ajoutant qu'il ne peut pas «répondre» à une convocation qui ne lui a jamais été adressée.
Selon la presse nationale, M. Soro est convoqué le 24 novembre prochain devant la justice française dans le cadre de la plainte de Michel Gbagbo qui dit avoir subi un traitement inhumain pendant la crise post électorale de décembre 2010 à avril 2011, ayant fait plus de 3000 morts.
LS/APA