Pour son 4ème match sur le banc des Eléphants, le mardi 17 novembre 2015 dans le cadre des éliminatoires du mondial 2015 face au Liberia, Michel Dussuyer, le sélectionneur national peut être satisfait de son groupe, amputé de ses cadres majeurs.
Côte d’Ivoire-Liberia au stade Felix Houphouët-Boigny restera pour l’instant, le match-référence des Eléphants post-Coupe d’Afrique 2015. Et surtout sous l’ère Michel Dussuyer, le technicien français qui a succédé à Hervé Renard au niveau d’encadrement technique de la sélection nationale de football. Sur leur installation, les Eléphants ont fait montre de leur suprématie sur le continent africain. Ce que les Ivoiriens n’ont plus revu depuis le sacre de la Guinée Equatoriale en février. Car sur sept rencontres disputées(matchs amicaux, éliminatoires de la CAN 2017, éliminatoires du mondial 2018) par les champions d’Afrique après la CAN 2015, la Côte d’Ivoire a enregistré quatre victoires, pour trois nuls. Les quatre dernières rencontres portent la griffe de Michel Dussuyer qui n’a subi aucune défaite. Sauf que dans ses débuts sur le banc, la Côte d’Ivoire a peiné. Notamment face à la Sierra Léone en éliminatoires de la Coupe d’Afrique des nations 2017 en septembre 2015. Au cours de cette rencontre qui s’est joué au Nigeria, l’équipe ivoirienne a été aux abois dans tous les compartiments de jeu. Sauf qu’elle a été sauvée par Gbohouo Sylvain, le gardien des Eléphants. Il a gardé ses cages inviolées. Face au Maroc en match amical et au Liberia lors du match aller du second tour des éliminatoires du Mondial 2018, la Côte d’Ivoire a fait un service minimum, en s’imposant sur le petit score. Le mardi 17 novembre 2015, les Eléphants sont montés en puissance. Collectivement, offensivement et défensivement. Dans la cuvée du ‘’Felicia’’, sans la présence des cadors (Yaya Touré, Max Gradel, Bony Wilfried), Sio Giovanni, Yao Kouassi Gervais, Boka Arthur, Aurier Serges, Serey Dié ont retrouvé leurs repères. En produisant un jeu de qualité. Privant l’adversaire de ballon. Avec à la clé trois réalisations. Un doublé de Sio Giovanni et un but de Seri Michel. Ce qui a permet à la Côte d’Ivoire de figurer parmi les 20 nations qualifiées pour les phases finales des éliminatoires du mondial 2018. Dont le tirage au sort est prévu en juin 2016. Aussi le groupe de Michel Dussuyer a fait preuve de solidarité sur la pelouse du ‘’Felicia’’.Après plusieurs mois de doute, les Eléphants, sans s’alarmer, se remettent dans le sens de la marche voulue. Avec un Michel Dussuyer qui prend des points tout en ayant encore tout à prouver. Et ce, même s’il a, à son crédit, su rassembler ses troupes sous un air de solidarité. Une performance qui fait dire à Michel Dussuyer que son groupe est sur le bon chemin. « Il y a eu une maîtrise collective, nous avons gardé le ballon au sol, une bonne circulation du ballon.Nous avons réussi à trouver les décalages, nous avons apporté le danger devant les buts adverses. Sur le plan défensif nous avons montré de bonne chose. C’est une satisfaction de ne pas prendre de but. La défense fait partie de la fondation d’une équipe solide. Il faut qu’on travaille encore pour mieux défendre. Zéro but encaissé en trois matchs. Cela veut dire que nous sommes sur le bon chemin », a confié Michel Dussuyer. Il reconnaît cependant, que rien n’est gagné d’avance et qu’il faudra garder le même rythme lors des phases de poule des éliminatoires du Mondial 2018 et celui des éliminatoires de la CAN 2017. Ce qui se fera certainement dès le retour de Yaya Touré et autres cadors de la sélection.
Ange Kouadio
Côte d’Ivoire-Liberia au stade Felix Houphouët-Boigny restera pour l’instant, le match-référence des Eléphants post-Coupe d’Afrique 2015. Et surtout sous l’ère Michel Dussuyer, le technicien français qui a succédé à Hervé Renard au niveau d’encadrement technique de la sélection nationale de football. Sur leur installation, les Eléphants ont fait montre de leur suprématie sur le continent africain. Ce que les Ivoiriens n’ont plus revu depuis le sacre de la Guinée Equatoriale en février. Car sur sept rencontres disputées(matchs amicaux, éliminatoires de la CAN 2017, éliminatoires du mondial 2018) par les champions d’Afrique après la CAN 2015, la Côte d’Ivoire a enregistré quatre victoires, pour trois nuls. Les quatre dernières rencontres portent la griffe de Michel Dussuyer qui n’a subi aucune défaite. Sauf que dans ses débuts sur le banc, la Côte d’Ivoire a peiné. Notamment face à la Sierra Léone en éliminatoires de la Coupe d’Afrique des nations 2017 en septembre 2015. Au cours de cette rencontre qui s’est joué au Nigeria, l’équipe ivoirienne a été aux abois dans tous les compartiments de jeu. Sauf qu’elle a été sauvée par Gbohouo Sylvain, le gardien des Eléphants. Il a gardé ses cages inviolées. Face au Maroc en match amical et au Liberia lors du match aller du second tour des éliminatoires du Mondial 2018, la Côte d’Ivoire a fait un service minimum, en s’imposant sur le petit score. Le mardi 17 novembre 2015, les Eléphants sont montés en puissance. Collectivement, offensivement et défensivement. Dans la cuvée du ‘’Felicia’’, sans la présence des cadors (Yaya Touré, Max Gradel, Bony Wilfried), Sio Giovanni, Yao Kouassi Gervais, Boka Arthur, Aurier Serges, Serey Dié ont retrouvé leurs repères. En produisant un jeu de qualité. Privant l’adversaire de ballon. Avec à la clé trois réalisations. Un doublé de Sio Giovanni et un but de Seri Michel. Ce qui a permet à la Côte d’Ivoire de figurer parmi les 20 nations qualifiées pour les phases finales des éliminatoires du mondial 2018. Dont le tirage au sort est prévu en juin 2016. Aussi le groupe de Michel Dussuyer a fait preuve de solidarité sur la pelouse du ‘’Felicia’’.Après plusieurs mois de doute, les Eléphants, sans s’alarmer, se remettent dans le sens de la marche voulue. Avec un Michel Dussuyer qui prend des points tout en ayant encore tout à prouver. Et ce, même s’il a, à son crédit, su rassembler ses troupes sous un air de solidarité. Une performance qui fait dire à Michel Dussuyer que son groupe est sur le bon chemin. « Il y a eu une maîtrise collective, nous avons gardé le ballon au sol, une bonne circulation du ballon.Nous avons réussi à trouver les décalages, nous avons apporté le danger devant les buts adverses. Sur le plan défensif nous avons montré de bonne chose. C’est une satisfaction de ne pas prendre de but. La défense fait partie de la fondation d’une équipe solide. Il faut qu’on travaille encore pour mieux défendre. Zéro but encaissé en trois matchs. Cela veut dire que nous sommes sur le bon chemin », a confié Michel Dussuyer. Il reconnaît cependant, que rien n’est gagné d’avance et qu’il faudra garder le même rythme lors des phases de poule des éliminatoires du Mondial 2018 et celui des éliminatoires de la CAN 2017. Ce qui se fera certainement dès le retour de Yaya Touré et autres cadors de la sélection.
Ange Kouadio
