Un journaliste ivoirien se trouvait parmi les otages de l’hôtel Radisson Blu de Bamako attaqué, tôt vendredi, par des assaillants.
Le journaliste Abdoulaye Sangaré, Conseiller au ministère ivoirien de la Communication, joint au téléphone par APA, dit se ‘’porter bien’’ après son exfiltration à l’instar de la plus par des occupants de l’hôtel. M. Sangaré séjournait dans la capitale malienne.
Le chef de l’Etat malien, Ibrahim Boubacar Kéïta dit IBK, qui séjournait à Ndjamena (Tchad) où il prenait part, vendredi, au Sommet des chefs d’État et de gouvernement du G5 Sahel, a regagné aussitôt, Bamako.
L’assaut donné par les forces de l’ordre maliennes appuyées par leurs homologues françaises et américaines contre les preneurs d’otage au Radisson Blu de Bamako a pris fin dans l’après-midi. ‘’Il n’y a plus de personnes en détention’’, selon le ministre malien de la Sécurité, le colonel Salif Traoré.
Une vingtaine de personnes seraient décédées dans cette attaque. Au début de l’attaque, tôt le matin, il y avait à l’hôtel 170 personnes dont 140 clients.A en croire, le ministre malien de la Sécurité, les assaillants qui seraient une dizaine n’ont pas cherché à dialoguer mais plutôt ‘’à tirer sur les civils et les forces de sécurité’’.
Al Mourbitoune, le groupe de Mokhtar Belmokhtar, aurait, sans convaincre sur l’authenticité d’une telle démarche, revendiqué sur tweeter l’attentat.
SY/ls/APA
Le journaliste Abdoulaye Sangaré, Conseiller au ministère ivoirien de la Communication, joint au téléphone par APA, dit se ‘’porter bien’’ après son exfiltration à l’instar de la plus par des occupants de l’hôtel. M. Sangaré séjournait dans la capitale malienne.
Le chef de l’Etat malien, Ibrahim Boubacar Kéïta dit IBK, qui séjournait à Ndjamena (Tchad) où il prenait part, vendredi, au Sommet des chefs d’État et de gouvernement du G5 Sahel, a regagné aussitôt, Bamako.
L’assaut donné par les forces de l’ordre maliennes appuyées par leurs homologues françaises et américaines contre les preneurs d’otage au Radisson Blu de Bamako a pris fin dans l’après-midi. ‘’Il n’y a plus de personnes en détention’’, selon le ministre malien de la Sécurité, le colonel Salif Traoré.
Une vingtaine de personnes seraient décédées dans cette attaque. Au début de l’attaque, tôt le matin, il y avait à l’hôtel 170 personnes dont 140 clients.A en croire, le ministre malien de la Sécurité, les assaillants qui seraient une dizaine n’ont pas cherché à dialoguer mais plutôt ‘’à tirer sur les civils et les forces de sécurité’’.
Al Mourbitoune, le groupe de Mokhtar Belmokhtar, aurait, sans convaincre sur l’authenticité d’une telle démarche, revendiqué sur tweeter l’attentat.
SY/ls/APA
