Washington - Un Américain est mort vendredi et une dizaine d’autres ont été secourus dans l’attaque contre l’hôtel Radisson Blu de Bamako, une prise d’otages revendiquée par un groupe jihadiste proche d’Al-Qaïda qui a fait au moins 27 morts, a annoncé le département d’Etat.
"Nous pouvons confirmer la mort d’un ressortissant américain dans l’attaque contre le Radisson de Bamako, au Mali", a déclaré un diplomate du ministère américain des Affaires étrangères, sans plus de précisions sur l’identité de la victime et sur les circonstances de son décès.
Auparavant, la Maison Blanche, le secrétaire d’Etat John Kerry et son ministère avaient condamné dans des communiqués successifs l’"attaque terroriste (...) odieuse" contre cet hôtel de luxe de la capitale malienne et précisé qu’"environ une dizaine d’Américains" présents dans l’établissement dont des membres de l’ambassade -- avaient été "secourus" et étaient sains et saufs dans "un lieu sûr".
"Nous pouvons confirmer que l’attaque a pris fin et nous poursuivons notre coordination avec des responsables américains sur le terrain pour vérifier l’endroit où se trouvent tous les Américains au Mali", avait indiqué un porte-parole de la présidence américaine. Le porte-parole du département d’Etat John Kirby avait alors précisé lors de son point de presse qu’"à l’heure qu’il est, je n’ai aucun blessé ou mort américain" à déplorer.
La prise d’otages meurtrière de cet hôtel, revendiquée par le groupe jihadiste de Mokhtar Belmokhtar, fidèle à Al-Qaïda, s’est terminée vendredi après neuf heures d’enfer et au moins 27 morts, à la suite de l’intervention conjointe des forces maliennes et étrangères, notamment françaises.
D’après le département d’Etat et le Pentagone, deux membres des forces spéciales américaines ont participé à la mise en sécurité de leurs concitoyens mais sans prendre directement part à l’opération des forces maliennes contre les preneurs d’otages.
Les forces américaines ne disposaient que de 26 hommes au Mali au moment de l’attaque, dont 22 à Bamako, selon le commandement des forces américaines en Afrique.
bur-nr/faa
"Nous pouvons confirmer la mort d’un ressortissant américain dans l’attaque contre le Radisson de Bamako, au Mali", a déclaré un diplomate du ministère américain des Affaires étrangères, sans plus de précisions sur l’identité de la victime et sur les circonstances de son décès.
Auparavant, la Maison Blanche, le secrétaire d’Etat John Kerry et son ministère avaient condamné dans des communiqués successifs l’"attaque terroriste (...) odieuse" contre cet hôtel de luxe de la capitale malienne et précisé qu’"environ une dizaine d’Américains" présents dans l’établissement dont des membres de l’ambassade -- avaient été "secourus" et étaient sains et saufs dans "un lieu sûr".
"Nous pouvons confirmer que l’attaque a pris fin et nous poursuivons notre coordination avec des responsables américains sur le terrain pour vérifier l’endroit où se trouvent tous les Américains au Mali", avait indiqué un porte-parole de la présidence américaine. Le porte-parole du département d’Etat John Kirby avait alors précisé lors de son point de presse qu’"à l’heure qu’il est, je n’ai aucun blessé ou mort américain" à déplorer.
La prise d’otages meurtrière de cet hôtel, revendiquée par le groupe jihadiste de Mokhtar Belmokhtar, fidèle à Al-Qaïda, s’est terminée vendredi après neuf heures d’enfer et au moins 27 morts, à la suite de l’intervention conjointe des forces maliennes et étrangères, notamment françaises.
D’après le département d’Etat et le Pentagone, deux membres des forces spéciales américaines ont participé à la mise en sécurité de leurs concitoyens mais sans prendre directement part à l’opération des forces maliennes contre les preneurs d’otages.
Les forces américaines ne disposaient que de 26 hommes au Mali au moment de l’attaque, dont 22 à Bamako, selon le commandement des forces américaines en Afrique.
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