Une cinquantaine de délégués issus des organisations professionnelles agricoles (OPA) et des sociétés coopératives des 19 régions de productions d’anacarde se sont retrouvés, en vue d’adopter une démarche et une approche communes pour la mise en place du collège des producteurs et de l’interprofession de cette filière agricole.
Il s’agissait au cours de cette rencontre, tenue samedi dans un hôtel à Abidjan, d’élucider les modalités de création du collège des producteurs, a expliqué le président du comité d’organisation, Métan Koné, à l'ouverture des travaux.
Cette réunion initiée par le collectif des organisations professionnelles agricoles et sociétés coopératives pour la mise place du collège des producteurs et de l’interprofession, devrait permettre de capitaliser les acquis des différentes initiatives, prises en faveur de la mise en place de l’interprofession, a soutenu M. Koné. Il a noté que la rencontre devrait rapprocher les points de vue des OPA et des producteurs, évoquant la mise en place d’un présidium et d’un plan d’action.
Au terme de la réforme de la filière adoptée en 2013, six axes stratégiques ont été définis, à savoir l’encadrement, la sacherie, la commercialisation des noix de cajou, la transformation locale, la recherche et l’organisation des acteurs de la filière. Ce dernier axe reste une préoccupation majeure, indique-t-on. La production ivoirienne d’anacarde est estimée, à ce jour, à plus de 700.000 tonnes, faisant du pays le premier producteur mondial.
kkf/tm
Il s’agissait au cours de cette rencontre, tenue samedi dans un hôtel à Abidjan, d’élucider les modalités de création du collège des producteurs, a expliqué le président du comité d’organisation, Métan Koné, à l'ouverture des travaux.
Cette réunion initiée par le collectif des organisations professionnelles agricoles et sociétés coopératives pour la mise place du collège des producteurs et de l’interprofession, devrait permettre de capitaliser les acquis des différentes initiatives, prises en faveur de la mise en place de l’interprofession, a soutenu M. Koné. Il a noté que la rencontre devrait rapprocher les points de vue des OPA et des producteurs, évoquant la mise en place d’un présidium et d’un plan d’action.
Au terme de la réforme de la filière adoptée en 2013, six axes stratégiques ont été définis, à savoir l’encadrement, la sacherie, la commercialisation des noix de cajou, la transformation locale, la recherche et l’organisation des acteurs de la filière. Ce dernier axe reste une préoccupation majeure, indique-t-on. La production ivoirienne d’anacarde est estimée, à ce jour, à plus de 700.000 tonnes, faisant du pays le premier producteur mondial.
kkf/tm