En marge de la seconde édition d’Africa Agri Forum, Kouakou Apporture le Directeur de Cabinet Adjoint du ministre de l’Agriculture, Mamadou Sangafowa a affirmé que l’atteinte de l’autosuffisance en riz « n’est plus qu’une question de mois ».
Selon le directeur de cabinet, l’objectif du gouvernement dans le cadre de la stratégie nationale de développement, est de parvenir à une production de 1,9 millions de tonnes de riz blanchis à l’horizon 2016, synonyme d’autosuffisance alimentaire. Même s’il reconnaît qu’il sera difficile de tenir ce délai eu égard à la production 2015 qui est de 1,343 million de tonnes, Kouakou Apporture reste persuadé que l’autosuffisance pourrait être possible « autour de 2017, au plus tard 2018 ».
Cette production dont se satisfait le Directeur de Cabinet adjoint, est le résultat « d’efforts au plan national ». La production connaitra un bon important les mois à venir, a expliqué Kouakou Apporture. « Nous attendons des machines qui doivent arriver de l’Inde. Nous allons accroître nos capacités. Avec l’arrivée des machines nous sommes surs d’atteindre l’autosuffisance alimentaire, et nous serons même capables d’en exporter dans la sous-région », a-t-il argué.
Elisée B.
Selon le directeur de cabinet, l’objectif du gouvernement dans le cadre de la stratégie nationale de développement, est de parvenir à une production de 1,9 millions de tonnes de riz blanchis à l’horizon 2016, synonyme d’autosuffisance alimentaire. Même s’il reconnaît qu’il sera difficile de tenir ce délai eu égard à la production 2015 qui est de 1,343 million de tonnes, Kouakou Apporture reste persuadé que l’autosuffisance pourrait être possible « autour de 2017, au plus tard 2018 ».
Cette production dont se satisfait le Directeur de Cabinet adjoint, est le résultat « d’efforts au plan national ». La production connaitra un bon important les mois à venir, a expliqué Kouakou Apporture. « Nous attendons des machines qui doivent arriver de l’Inde. Nous allons accroître nos capacités. Avec l’arrivée des machines nous sommes surs d’atteindre l’autosuffisance alimentaire, et nous serons même capables d’en exporter dans la sous-région », a-t-il argué.
Elisée B.