La "question" des écoutes téléphoniques mettant en cause le président de l’Assemblée nationale, Guillaume Soro dans le putsch avorté de septembre au Burkina Faso, sera "traité au moment venu", a assuré le président ivoirien, Alassane Ouattara face la presse à Abidjan.
" J’en ai parlé avec Guillaume Soro au moment venu nous allons traiter cette question", a déclaré M. Ouattara ajoutant avoir rencontré le président de l’Assemblée nationale à Paris, à son arrivée à l’aéroport après un séjour hors du pays.
Le président ivoirien qui a effectué un séjour d’un mois à l’extérieur notamment en France et en Afrique du sud après son investiture par le Conseil constitutionnel a dit "suivre de près l’actualité" du pays devant l’ensemble du gouvernement.
Un enregistrement audio de 16 minutes diffusé sur internet le 12 novembre et présenté comme une conversation entre M. Soro et l’ancien ministre des Affaires étrangères burkinabé, Djibril Bassolé discutant des moyens d’éviter l’échec du putsch de Gilbert Diendéré au Burkina Faso, n’en finit plus d’alimenter les débats sur les réseaux sociaux et dans la presse.
Interrogé par la radio bukinabè savane fm le premier ministre Isaac Zida avait affirmé ne pas douter de "l’authenticité" des enregistrements ajoutant avoir "suffisamment d’éléments" qui prouvent l’"implication" de M.Soro.
A la suite, de ces propos Guillaume Soro a accusé le colonel Zida d’en être le "commanditaire" affirmant qu’il est enfin sorti "du maquis ténébreux de la manipulation" dans un poste sur twitter.
DEK
" J’en ai parlé avec Guillaume Soro au moment venu nous allons traiter cette question", a déclaré M. Ouattara ajoutant avoir rencontré le président de l’Assemblée nationale à Paris, à son arrivée à l’aéroport après un séjour hors du pays.
Le président ivoirien qui a effectué un séjour d’un mois à l’extérieur notamment en France et en Afrique du sud après son investiture par le Conseil constitutionnel a dit "suivre de près l’actualité" du pays devant l’ensemble du gouvernement.
Un enregistrement audio de 16 minutes diffusé sur internet le 12 novembre et présenté comme une conversation entre M. Soro et l’ancien ministre des Affaires étrangères burkinabé, Djibril Bassolé discutant des moyens d’éviter l’échec du putsch de Gilbert Diendéré au Burkina Faso, n’en finit plus d’alimenter les débats sur les réseaux sociaux et dans la presse.
Interrogé par la radio bukinabè savane fm le premier ministre Isaac Zida avait affirmé ne pas douter de "l’authenticité" des enregistrements ajoutant avoir "suffisamment d’éléments" qui prouvent l’"implication" de M.Soro.
A la suite, de ces propos Guillaume Soro a accusé le colonel Zida d’en être le "commanditaire" affirmant qu’il est enfin sorti "du maquis ténébreux de la manipulation" dans un poste sur twitter.
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