Ibrahima BA, Directeur Exécutif du 4ème Recensement Général de la Population et de l’Habitat (RGPH) était face à la presse ce vendredi 11 décembre 2015 à Abidjan-Plateau.
L’objectif de cette rencontre avec les médias était d’annoncer les résultats du dernier recensement de 2014 qui est la 4ème du genre en Côte d’Ivoire. Selon lui cette opération statistique c’est réalisée en dix phases ce qui a permis de parcourir toutes les localités et hameaux du pays.
A en croire les résultats de cette étude statistique des populations, la Côte d’Ivoire dénombre une population totale de 22.671.331 habitants soit 17.172.995 ivoiriens et 5.492.199 non ivoiriens. << le taux d’accroissement annuel moyen est de 2,6%>> a-t-il indiqué.
Pour ce qui est de la population résidente dans la capitale économique ivoirienne, il a fait savoir que la commune la plus peuplée demeure yopougon avec 1.071.543 habitants. Le constat marquant de cet unième recensement c’est qu’il y a plus de femme ivoirienne que d’homme ivoirien cependant << au recensement général les nons-ivoiriens y compris, le taux du sexe masculin est plus élevé que celui des femmes>> a-t-il précisé.
Poursuivant, il a rappelé que ce présent recensement s’est réalisé du 14 avril au 14 juillet 2014. Aux dires de monsieur Ibrahima BA, la particularité de ce 4ème RGPH est qu’il s’est largement imprégné des nouvelles technologies de l’information avec l’utilisation des PAD/ Smartphones comme outils de la collecte assistée par ordinateur, manquant ainsi une rupture avec les méthodes anciennes.
Pour ce qui est du taux de l’alphabétisation, le conférencier a souligné que 56, 1% de la population ivoirienne ne sait ni lire ni lire ni écrire. Cette analyse démographique a aussi permis de savoir que seulement 38% des ménages disposent d’un lieu d’aisance adéquat. Quant aux commodités des logements des ménages, 3% des ménages ont une connexion Internet et 80% disposent d’au moins un téléphone mobile.
Notons que le RGPH est une opération statistique régis par la loi n2013-537 du 30 juillet 2103.
Cette opération a coûté 15.623. 740. 000Fcfa avec une participation à hauteur de 80% de l’État ivoirien et 20% des partenaires de la somme initiale.
DA
L’objectif de cette rencontre avec les médias était d’annoncer les résultats du dernier recensement de 2014 qui est la 4ème du genre en Côte d’Ivoire. Selon lui cette opération statistique c’est réalisée en dix phases ce qui a permis de parcourir toutes les localités et hameaux du pays.
A en croire les résultats de cette étude statistique des populations, la Côte d’Ivoire dénombre une population totale de 22.671.331 habitants soit 17.172.995 ivoiriens et 5.492.199 non ivoiriens. << le taux d’accroissement annuel moyen est de 2,6%>> a-t-il indiqué.
Pour ce qui est de la population résidente dans la capitale économique ivoirienne, il a fait savoir que la commune la plus peuplée demeure yopougon avec 1.071.543 habitants. Le constat marquant de cet unième recensement c’est qu’il y a plus de femme ivoirienne que d’homme ivoirien cependant << au recensement général les nons-ivoiriens y compris, le taux du sexe masculin est plus élevé que celui des femmes>> a-t-il précisé.
Poursuivant, il a rappelé que ce présent recensement s’est réalisé du 14 avril au 14 juillet 2014. Aux dires de monsieur Ibrahima BA, la particularité de ce 4ème RGPH est qu’il s’est largement imprégné des nouvelles technologies de l’information avec l’utilisation des PAD/ Smartphones comme outils de la collecte assistée par ordinateur, manquant ainsi une rupture avec les méthodes anciennes.
Pour ce qui est du taux de l’alphabétisation, le conférencier a souligné que 56, 1% de la population ivoirienne ne sait ni lire ni lire ni écrire. Cette analyse démographique a aussi permis de savoir que seulement 38% des ménages disposent d’un lieu d’aisance adéquat. Quant aux commodités des logements des ménages, 3% des ménages ont une connexion Internet et 80% disposent d’au moins un téléphone mobile.
Notons que le RGPH est une opération statistique régis par la loi n2013-537 du 30 juillet 2103.
Cette opération a coûté 15.623. 740. 000Fcfa avec une participation à hauteur de 80% de l’État ivoirien et 20% des partenaires de la somme initiale.
DA