Les présumés enregistrements téléphoniques entre l’ancien ministre des Affaires étrangères du Burkina, Djibril Bassolé et le président de l’Assemblée nationale ivoirienne, Guillaume Soro faisant état de leur contribution au coup d’Etat manqué de mi-spetmebre dernier, ont été reversés dans le dossier, a déclaré mercredi la justice burkinabè.
S’exprimant lors d’un point de presse, le commissaire du gouvernement, le lieutenant-colonel Norbert Koudougou a déclaré que "les juges d’instruction ont donné une commission rogatoire aux officiers de police judiciaire pour procéder à des auditions et à des interpellations et c’est à cette occasion que ces bandes ont été obtenues et reversées dans le dossier".
Cependant, a-t-il prévenu, "la procédure d’authentification n’a pas encore commencé".
Pour ce travail, "il faut saisir un expert agréé par les juridictions en reconnaissance vocale pour faire cette authentification et ça le sera" a, pour sa part, soutenu le directeur de la justice militaire, le colonel Sita Sangaré.
Le Premier ministre burkinabè, Yacouba Isaac Zida a affirmé que la bande sonore des écoutes téléphoniques entre l’ancien ministre des Affaires étrangères du Burkina, Djibril Bassolé et le président de l’Assemblée nationale de Côte d’Ivoire, Guillaume Soro, est "authentique".
Depuis quelques jours, trois documents sonores sur les réseaux et sur certains sites d’information font état d’une conversation entre le général Bassolé et l’ex-chef de la rébellion ivoirienne, Guillaume Soro, sur la planification du coup d’Etat avorté du 16 septembre dernier.
Selon le directeur de la justice militaire du Burkina, Sita Sangaré, dans le cadre de ce dossier, 52 personnes ont été inculpées, dont 43 détenues en prison.
L’ex-ministre de la Sécurité, Sidi Paré, inculpé et mis en accusation par la Haute Cour de justice, a été transféré, mercredi, à la Maison d’arrêt et de correction de Ouagadougou (MACO).
Le général Gilbert Diendéré, cerveau du putsch et le général de gendarmerie Djibril Bassolé, par ailleurs, ex-chef de la diplomatie de Blaise Compaoré, sont incarcérés dans une prison militaire à Ouagadougou.
S’exprimant lors d’un point de presse, le commissaire du gouvernement, le lieutenant-colonel Norbert Koudougou a déclaré que "les juges d’instruction ont donné une commission rogatoire aux officiers de police judiciaire pour procéder à des auditions et à des interpellations et c’est à cette occasion que ces bandes ont été obtenues et reversées dans le dossier".
Cependant, a-t-il prévenu, "la procédure d’authentification n’a pas encore commencé".
Pour ce travail, "il faut saisir un expert agréé par les juridictions en reconnaissance vocale pour faire cette authentification et ça le sera" a, pour sa part, soutenu le directeur de la justice militaire, le colonel Sita Sangaré.
Le Premier ministre burkinabè, Yacouba Isaac Zida a affirmé que la bande sonore des écoutes téléphoniques entre l’ancien ministre des Affaires étrangères du Burkina, Djibril Bassolé et le président de l’Assemblée nationale de Côte d’Ivoire, Guillaume Soro, est "authentique".
Depuis quelques jours, trois documents sonores sur les réseaux et sur certains sites d’information font état d’une conversation entre le général Bassolé et l’ex-chef de la rébellion ivoirienne, Guillaume Soro, sur la planification du coup d’Etat avorté du 16 septembre dernier.
Selon le directeur de la justice militaire du Burkina, Sita Sangaré, dans le cadre de ce dossier, 52 personnes ont été inculpées, dont 43 détenues en prison.
L’ex-ministre de la Sécurité, Sidi Paré, inculpé et mis en accusation par la Haute Cour de justice, a été transféré, mercredi, à la Maison d’arrêt et de correction de Ouagadougou (MACO).
Le général Gilbert Diendéré, cerveau du putsch et le général de gendarmerie Djibril Bassolé, par ailleurs, ex-chef de la diplomatie de Blaise Compaoré, sont incarcérés dans une prison militaire à Ouagadougou.