Le président de l’Assemblée nationale de Côte d’Ivoire, Guillaume Kigbafori Soro a souhaité, lundi, à Bouaké (379 km au Nord d’Abidjan), face à « la méchanceté » dont il a été l’objet, que la politique emprunte aux enfants « leur innocence » et « leur douceur ».
M. Soro s’exprimait à la cérémonie de lancement de la 2ème édition de l’opération de distribution de 100 000 jouets aux enfants de Côte d’Ivoire.
« Quand je regarde ces enfants quelque chose me frappe (…) j’ai lu dans les yeux de ces enfants l’innocence et la sincérité » a-t-il fait observer, ajoutant que « je me suis dit mon Dieu et si la politique pouvait emprunter aux enfants leur innocence, et si la politique pouvait emprunter aux enfants leur douceur ».
« Et que la politique comme pour ces enfants devenait un jeu pour les hommes politiques. Que le monde aurait gagné ! » a poursuivi Guillaume Soro, regrettant que la politique pratiquée en Afrique soit totalement opposée à ce cas. La politique « c’est le lieu de la méchanceté, de la calomnie, du dénigrement, c’est le lieu de la jalousie » a-t-il fustigé.
Selon lui, « il y a quelques semaines j’ai beaucoup souffert dans ma chair face à la méchanceté (…) bien que j’ai été meurtri, attaqué, injurié injustement il fallait que je reste stoïque et je le suis resté (…) je suis resté debout malgré l’adversité » a-t-il conclu, citant l’écrivain et dramaturge français Alfred de Vigny.
CK/ls/APA
M. Soro s’exprimait à la cérémonie de lancement de la 2ème édition de l’opération de distribution de 100 000 jouets aux enfants de Côte d’Ivoire.
« Quand je regarde ces enfants quelque chose me frappe (…) j’ai lu dans les yeux de ces enfants l’innocence et la sincérité » a-t-il fait observer, ajoutant que « je me suis dit mon Dieu et si la politique pouvait emprunter aux enfants leur innocence, et si la politique pouvait emprunter aux enfants leur douceur ».
« Et que la politique comme pour ces enfants devenait un jeu pour les hommes politiques. Que le monde aurait gagné ! » a poursuivi Guillaume Soro, regrettant que la politique pratiquée en Afrique soit totalement opposée à ce cas. La politique « c’est le lieu de la méchanceté, de la calomnie, du dénigrement, c’est le lieu de la jalousie » a-t-il fustigé.
Selon lui, « il y a quelques semaines j’ai beaucoup souffert dans ma chair face à la méchanceté (…) bien que j’ai été meurtri, attaqué, injurié injustement il fallait que je reste stoïque et je le suis resté (…) je suis resté debout malgré l’adversité » a-t-il conclu, citant l’écrivain et dramaturge français Alfred de Vigny.
CK/ls/APA