Le président ivoirien Alassane Ouattara a affirmé jeudi soir que son pays la Côte d’Ivoire avait "un destin commun" avec les autres états de l’Afrique de l’ouest et qu’ "aucune discorde" ne pourrait "contrarier la volonté" de ses pairs chefs d‘Etats de la CEDEAO "d’avancer ensemble".
"L’Afrique de l’ouest qui a connu des soubresauts pendant de longues années renoue progressivement avec une stabilité remarquable (…) Avec tous ces pays sans exception, nous avons un destin commun que rien ne pourra remettre en cause", a déclaré M. Ouattara, dans son discours de nouvel an, diffusé au Journal télévisé de 20H (Gmt et locales) de la télévision nationale.
"Aucune discorde ne pourra contrarier la volonté de nos peuples et de leurs dirigeants d’avancer ensemble", a-t-il poursuivi.
Cette déclaration de M. Ouattara intervient dans un contexte de crispation politique entre la Côte d’Ivoire et son voisin, le Burkina Faso.
Le gouvernement ivoirien n’a pas encore officiellement exprimé son accord pour le transfèrement de l’ancien président burkinabé Blaise Compaoré au Burkina, conformément au mandat d’arrêt international émis par la justice de ce pays.
En outre, le président de l’Assemblée nationale de Côte d’Ivoire, Guillaume Soro est accusé par des officiels burkinabés d’être impliqué dans le coup d’Etat avorté de septembre du général Gilbert Diendéré au Burkina.
SKO
"L’Afrique de l’ouest qui a connu des soubresauts pendant de longues années renoue progressivement avec une stabilité remarquable (…) Avec tous ces pays sans exception, nous avons un destin commun que rien ne pourra remettre en cause", a déclaré M. Ouattara, dans son discours de nouvel an, diffusé au Journal télévisé de 20H (Gmt et locales) de la télévision nationale.
"Aucune discorde ne pourra contrarier la volonté de nos peuples et de leurs dirigeants d’avancer ensemble", a-t-il poursuivi.
Cette déclaration de M. Ouattara intervient dans un contexte de crispation politique entre la Côte d’Ivoire et son voisin, le Burkina Faso.
Le gouvernement ivoirien n’a pas encore officiellement exprimé son accord pour le transfèrement de l’ancien président burkinabé Blaise Compaoré au Burkina, conformément au mandat d’arrêt international émis par la justice de ce pays.
En outre, le président de l’Assemblée nationale de Côte d’Ivoire, Guillaume Soro est accusé par des officiels burkinabés d’être impliqué dans le coup d’Etat avorté de septembre du général Gilbert Diendéré au Burkina.
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