Sikensi - La fête de la Saint Sylvestre a donné lieu à une ambiance surchauffée dans les maquis et rues de la ville, a constaté l’AIP dans la nuit de jeudi à vendredi dans cette localité .
Du quartier Sikensi A à Sikensi 3 en passant par Sikensi B , les maquis ont été pris d’assaut dès la tombée de la nuit par des populations , des jeunes pour la plus part.
Ouattara Inza, jeune planteur , visiblement heureux, rencontré devant un maquis grouillant de monde à sikensi B aux environs de 22H a déclaré être venu « s’+enjailler+, s’amuser pour terminer l’année 2015 et aborder 2016 avec beaucoup de joie ».
Dans un maquis de Sikensi, Guigui Marie, une jeune fille, se trémousse au son de la musique d’un DJ bien connu de la place. Elle dit être venue d’Abidjan pour » faire la fête avec les amis » et » changer un peu d’air ».
L’alcool, dans les différents maquis de la place a coulé à flots avec son corollaire d’ivresse, donnant cours à des cris de joie souvent stridents et surprenants, et à des scènes de mondanités diverses. La seule voie bitumée de la ville qui la traverse d’un bout à l’autre n’a pas non plus désempli avec ces piétons, motocyclistes et autres automobilistes qui l’ont pratiquée jusqu ‘au petit matin, sous le regard vigilant des forces de l’ordre commis à la sécurisation de cette fête.
(AIP)
akn/tm
Du quartier Sikensi A à Sikensi 3 en passant par Sikensi B , les maquis ont été pris d’assaut dès la tombée de la nuit par des populations , des jeunes pour la plus part.
Ouattara Inza, jeune planteur , visiblement heureux, rencontré devant un maquis grouillant de monde à sikensi B aux environs de 22H a déclaré être venu « s’+enjailler+, s’amuser pour terminer l’année 2015 et aborder 2016 avec beaucoup de joie ».
Dans un maquis de Sikensi, Guigui Marie, une jeune fille, se trémousse au son de la musique d’un DJ bien connu de la place. Elle dit être venue d’Abidjan pour » faire la fête avec les amis » et » changer un peu d’air ».
L’alcool, dans les différents maquis de la place a coulé à flots avec son corollaire d’ivresse, donnant cours à des cris de joie souvent stridents et surprenants, et à des scènes de mondanités diverses. La seule voie bitumée de la ville qui la traverse d’un bout à l’autre n’a pas non plus désempli avec ces piétons, motocyclistes et autres automobilistes qui l’ont pratiquée jusqu ‘au petit matin, sous le regard vigilant des forces de l’ordre commis à la sécurisation de cette fête.
(AIP)
akn/tm