Vavoua – La fête du réveillon et celle du nouvel an cette année ont été moins animées que celles de 2015 à Vavoua, a constaté l’AIP sur place.
Depuis 22 heures le jeudi, les rues attendaient l’ambiance habituelle des fêtes. Seuls quelques couples et certaines personnes allaient vers les lieux des cultes. Trente minutes après, les deux bars climatisés de la ville commençaient à accueillir leurs clients. Mais l’axe principal de la ville qui d’habitude était inondée de personnes et d’engins à deux roues est presque désert. La circulation était à compte goûte.
Entre minuit et deux heures, les clients des deux bars que la situation de la rareté de moyens financiers a sélectionnés ont commencé à vider les lieux. Les « maquis » qui étaient bondés de monde avant minuit ont fermé les portes autour de deux heures. Selon Mme Iriélou, tenancière de bar, « j’ai juste vendu mais pas comme l’année dernière ».
Une seule phrase justifiant cette situation était sur les lèvres, « l’argent est rare » la majorité de ceux qui ont pu sortir pour faire la fête a déclaré prendre la défaite après cette fête, car explique-t-on, le mois de janvier sera encore plus long à cause du manque d’argent.
La baisse de la production du cacao cette année à cause de la rareté des pluies en 2015 a plongé les populations du département de Vavoua, grand producteur agricole, dans une situation de baisse drastique de moyens financiers dans les ménages, souligne-t-on.
(AIP)
sk/kkf/kam
Depuis 22 heures le jeudi, les rues attendaient l’ambiance habituelle des fêtes. Seuls quelques couples et certaines personnes allaient vers les lieux des cultes. Trente minutes après, les deux bars climatisés de la ville commençaient à accueillir leurs clients. Mais l’axe principal de la ville qui d’habitude était inondée de personnes et d’engins à deux roues est presque désert. La circulation était à compte goûte.
Entre minuit et deux heures, les clients des deux bars que la situation de la rareté de moyens financiers a sélectionnés ont commencé à vider les lieux. Les « maquis » qui étaient bondés de monde avant minuit ont fermé les portes autour de deux heures. Selon Mme Iriélou, tenancière de bar, « j’ai juste vendu mais pas comme l’année dernière ».
Une seule phrase justifiant cette situation était sur les lèvres, « l’argent est rare » la majorité de ceux qui ont pu sortir pour faire la fête a déclaré prendre la défaite après cette fête, car explique-t-on, le mois de janvier sera encore plus long à cause du manque d’argent.
La baisse de la production du cacao cette année à cause de la rareté des pluies en 2015 a plongé les populations du département de Vavoua, grand producteur agricole, dans une situation de baisse drastique de moyens financiers dans les ménages, souligne-t-on.
(AIP)
sk/kkf/kam