L’indice de sécurité en Côte d’Ivoire estimé à "1,60 en janvier 2015, s’est établi à 1,11 en décembre, en dépit d’attaques sporadiques des positions" des Forces républicaines de Côte d’Ivoire (FRCI, armée) à l’Ouest du pays, a indiqué mardi le président ivoirien Alassane Ouattara, lors d’une cérémonie de présentation de vœux, au palais présidentiel.
"L’environnement sécuritaire continue de s’améliorer en dépit d’attaques sporadiques des positions des FRCI, ainsi l’indice de sécurité qui était à un niveau de 1,60 en janvier 2015 s’est établit à 1,11 en décembre dernier", s’est réjoui M. Ouattara.
Pour lui, "ces résultats positifs sont le fruit des efforts conjugués" de l’armée ivoirienne avec les forces françaises basées à Abidjan et celles des soldats de la mission onusienne en Côte d’Ivoire.
Début décembre, une attaque armée visant les positions de l’armée ivoirienne a fait 11 morts dont sept militaires à Olodio, dans le département de Tabou (Sud-ouest ivoirien), près de dix mois après une autre attaque qui a fait deux militaires tués dans cette sous-préfecture.
Le chef d’Etat-major général des FRCI, Soumaïla Bakayoko a pour sa part salué "le courage" de ses éléments "pour leur riposte énergétique qui a permis de repousser l’ennemi et de ramener le calme dans cette localité".
"Nous allons renforcer les moyens nécessaires pour traquer ces assassins et faire en sorte que nos forces de sécurité ne soient plus exposées" à de telles attaques, a assuré le chef de l'Etat ivoirien.
M. Ouattara a par ailleurs félicité l'ex-Autorité pour le désarmement, la démobilisation et la réinsertion (ADDR) et s’est dit satisfait "des opérations de sécurité (qui) ont porté leurs fruits", car 93% des 69.506 ex-combattants désarmés "ont été réinsérés".
Le président ivoirien a également précisé que "plus de 50% des 1.352 sites publics et privés occupés illégalement" par des FRCI et des civils depuis la fin des crises successives en Côte d’Ivoire "ont été libérés", souhaitant que cette opération se poursuive.
EFI
"L’environnement sécuritaire continue de s’améliorer en dépit d’attaques sporadiques des positions des FRCI, ainsi l’indice de sécurité qui était à un niveau de 1,60 en janvier 2015 s’est établit à 1,11 en décembre dernier", s’est réjoui M. Ouattara.
Pour lui, "ces résultats positifs sont le fruit des efforts conjugués" de l’armée ivoirienne avec les forces françaises basées à Abidjan et celles des soldats de la mission onusienne en Côte d’Ivoire.
Début décembre, une attaque armée visant les positions de l’armée ivoirienne a fait 11 morts dont sept militaires à Olodio, dans le département de Tabou (Sud-ouest ivoirien), près de dix mois après une autre attaque qui a fait deux militaires tués dans cette sous-préfecture.
Le chef d’Etat-major général des FRCI, Soumaïla Bakayoko a pour sa part salué "le courage" de ses éléments "pour leur riposte énergétique qui a permis de repousser l’ennemi et de ramener le calme dans cette localité".
"Nous allons renforcer les moyens nécessaires pour traquer ces assassins et faire en sorte que nos forces de sécurité ne soient plus exposées" à de telles attaques, a assuré le chef de l'Etat ivoirien.
M. Ouattara a par ailleurs félicité l'ex-Autorité pour le désarmement, la démobilisation et la réinsertion (ADDR) et s’est dit satisfait "des opérations de sécurité (qui) ont porté leurs fruits", car 93% des 69.506 ex-combattants désarmés "ont été réinsérés".
Le président ivoirien a également précisé que "plus de 50% des 1.352 sites publics et privés occupés illégalement" par des FRCI et des civils depuis la fin des crises successives en Côte d’Ivoire "ont été libérés", souhaitant que cette opération se poursuive.
EFI