Le président du Stella Club d’Adjamé, Salif Bictogo a décidé de saisir le comité d’éthique de la Fédération internationale de football (FIFA) suite au rejet, par la Commission électorale, de sa candidature à la présidence de la Fédération ivoirienne de Football. (FIF).
Salif Bictogo qualifie de « braquage électoral » l’invalidation de sa candidature en ce sens que la Commission électorale de la FIF, en plus d’être « illégale » n’a pas appliqué les textes. Il en veut pour preuve le fait que la Commission électorale, qui selon les textes, devait être mise sur pied en 2012 au sortir de l’Assemblée générale de 2011 ne l’a été qu’en décembre 2015.
Aussi s’étonne-t-il que la candidature du président sortant ait été validé alors que selon les textes ne peut faire office de candidature toute personne ayant écopé d’uune sanction disciplinaire sur une période de cinq ans, ou qui enregistre sur sa liste de candidature, la présence d’une personne ayant écopé d’une sanction sur la même période. Ce qui est le cas du président Vagba Alexis de l’Africa Sport, qui figure sur la liste de Sidi Diallo, et qui en 2012 a écopé en même temps que le comité directeur du club, d’une suspension de six mois.
L’une des violations perpétrées par le Comité exécutif de la FIF, selon Salif Bictogo, vient du fait que l’Assemblée générale de 2011 enjoignait au Comité exécutif de doter la FIF d’un nouveau code électoral. Chose qui n’a jamais été faite. Salif Bictogo se dit surpris qu’alors que les textes l’interdisent formellement, le président Sidi Diallo offre des enveloppes financières à des présidents de club, à seulement quelques jours de l’élection du président de la FIF.
Pour toutes ces irrégularités et bien d’autres encore, que le président du Stella compte porter à la connaissance des instances habilitées, Salif Bictogo a décidé de saisir le Comité d’éthique de la FIF et celui de la FIFA.
Quelques heures plus tôt, la Commission électorale de la FIF avait annoncé l’invalidation de la candidature de Salif Bictogo, au motif qu’il n’aurait jamais déposé de dossier de candidature, si ce n’est qu’une lettre d’acte de candidature. Le président du Stella ne se serait également pas acquitté de la caution de 5 millions de F CFA, selon la Commission électorale de la FIF.
Elisée B.
Salif Bictogo qualifie de « braquage électoral » l’invalidation de sa candidature en ce sens que la Commission électorale de la FIF, en plus d’être « illégale » n’a pas appliqué les textes. Il en veut pour preuve le fait que la Commission électorale, qui selon les textes, devait être mise sur pied en 2012 au sortir de l’Assemblée générale de 2011 ne l’a été qu’en décembre 2015.
Aussi s’étonne-t-il que la candidature du président sortant ait été validé alors que selon les textes ne peut faire office de candidature toute personne ayant écopé d’uune sanction disciplinaire sur une période de cinq ans, ou qui enregistre sur sa liste de candidature, la présence d’une personne ayant écopé d’une sanction sur la même période. Ce qui est le cas du président Vagba Alexis de l’Africa Sport, qui figure sur la liste de Sidi Diallo, et qui en 2012 a écopé en même temps que le comité directeur du club, d’une suspension de six mois.
L’une des violations perpétrées par le Comité exécutif de la FIF, selon Salif Bictogo, vient du fait que l’Assemblée générale de 2011 enjoignait au Comité exécutif de doter la FIF d’un nouveau code électoral. Chose qui n’a jamais été faite. Salif Bictogo se dit surpris qu’alors que les textes l’interdisent formellement, le président Sidi Diallo offre des enveloppes financières à des présidents de club, à seulement quelques jours de l’élection du président de la FIF.
Pour toutes ces irrégularités et bien d’autres encore, que le président du Stella compte porter à la connaissance des instances habilitées, Salif Bictogo a décidé de saisir le Comité d’éthique de la FIF et celui de la FIFA.
Quelques heures plus tôt, la Commission électorale de la FIF avait annoncé l’invalidation de la candidature de Salif Bictogo, au motif qu’il n’aurait jamais déposé de dossier de candidature, si ce n’est qu’une lettre d’acte de candidature. Le président du Stella ne se serait également pas acquitté de la caution de 5 millions de F CFA, selon la Commission électorale de la FIF.
Elisée B.