La justice burkinabè a émis un mandat d’arrêt contre le président de l’Assemblée nationale de Côte d’Ivoire, Guillaume Soro, accusé d’être impliqué dans la tentative de coup d’Etat de septembre au Burkina, ont annoncé vendredi des médias burkinabés.
“Le Burkina Faso lance un mandat d'arrêt contre Guillaume Soro le président de l'Assemblée nationale ivoirienne’’, indique la radio privée burkinabè Omega FM sur sa page facebook, ajoutant avoir joint “ plusieurs sources proches du dossier’’ qui confirment que “le mandat a été bel et bien lancé’’.
Ouaga FM, une autre radio privée burkinabé, a écrit sur son site internet : “l’Etat burkinabé à lancé un mandat d'arrêt international contre Guillaume Soro, président de l'Assemblée nationale ivoirienne’’.
M. Soro est accusé d’être impliqué dans le coup d’Etat manqué de septembre au Burkina depuis la diffusion le 12 novembre sur Internet d’un enregistrement sonore présenté comme une conversation entre lui et Djibril Bassolé, l’ancien ministre des Affaires étrangères de Blaise Compaoré, discutant des moyens d'éviter l'échec du putsch du général Diendéré.
Mais Djibrill Bassolé et Guillaume Soro ont nié avoir eu cette conversation, dénonçant une "manipulation".
Mais sont contredits par des officiels burkinabés dont l’ex-Premier ministre de transition Isaac Zida et le président du parlement de transition, Cherif Sy, qui jugent cette bande sonore “authentique’’.
Début décembre, M. Soro, alors en séjour en France, avait été visé par un mandat d’amener de la juge d’instruction parisienne Sabine Khéris.
Un mandat délivré dans le cadre de la plainte déposée en 2012 par Michel Gbagbo, fils de l’ex-président ivoirien Laurent Gbagbo, pour “enlèvement, séquestration et traitement dégradant et inhumain’’.
SKO
“Le Burkina Faso lance un mandat d'arrêt contre Guillaume Soro le président de l'Assemblée nationale ivoirienne’’, indique la radio privée burkinabè Omega FM sur sa page facebook, ajoutant avoir joint “ plusieurs sources proches du dossier’’ qui confirment que “le mandat a été bel et bien lancé’’.
Ouaga FM, une autre radio privée burkinabé, a écrit sur son site internet : “l’Etat burkinabé à lancé un mandat d'arrêt international contre Guillaume Soro, président de l'Assemblée nationale ivoirienne’’.
M. Soro est accusé d’être impliqué dans le coup d’Etat manqué de septembre au Burkina depuis la diffusion le 12 novembre sur Internet d’un enregistrement sonore présenté comme une conversation entre lui et Djibril Bassolé, l’ancien ministre des Affaires étrangères de Blaise Compaoré, discutant des moyens d'éviter l'échec du putsch du général Diendéré.
Mais Djibrill Bassolé et Guillaume Soro ont nié avoir eu cette conversation, dénonçant une "manipulation".
Mais sont contredits par des officiels burkinabés dont l’ex-Premier ministre de transition Isaac Zida et le président du parlement de transition, Cherif Sy, qui jugent cette bande sonore “authentique’’.
Début décembre, M. Soro, alors en séjour en France, avait été visé par un mandat d’amener de la juge d’instruction parisienne Sabine Khéris.
Un mandat délivré dans le cadre de la plainte déposée en 2012 par Michel Gbagbo, fils de l’ex-président ivoirien Laurent Gbagbo, pour “enlèvement, séquestration et traitement dégradant et inhumain’’.
SKO