« Il faut faire ses classes pour arriver là où on doit arriver »
Il a reçu les voeux de ses soldats,militants du Pdci-Rda de sa délégation. lui, c’est le ministre allah Kouadio Rémi, délégué départemental Pdci-Rda toumodi I. C’est dans une joie indescriptible soutenue par la chorale catholique, que la jeunesse du parti conduite par Fulgence Kouassi, l’Ufpdci de Mme Djamala thérèse, les secrétaires généraux de section, par la voix de leur président, Justin Koffi et le permanent de la délégation, le député Boni Octave ont salué et félicité leur mentor. Ils ont salué son maintien au gouvernement. ayant autour de lui son épouse et l’inspectrice du parti, le maire de Toumodi, Me tchina Simone et bien d’autres cadres du parti, le patron du parti dans la cité de l’agouti s’est d’abord réjoui avec ses militants pour la joie retrouvée. « Chers frères, chères soeurs, je suis content d’être avec vous. Je suis content que vous soyez là. Honnêtement, lorsque parfois nous sommes inquiets, c’est d’abord surtout pour vous. Parce qu’on se dit que si les nouvelles ne sont pas bonnes vous allez tellement souffrir, à cause de l’amour que vous nous portez, c’est ça qui nous fait peur et non autre chose. Et grâce à Dieu aujourd’hui, vous venez me voir et vous êtes dans la joie, vous ne pouvez pas comprendre mon bonheur…»
C’est ainsi que le ministre allah a traduit sa gratitude à son aînés dont tchina Simone pour sa présence à ses côtés. Il a aussi félicité les structures spécialisées de la Jpdci et l’Ufpdci pour leur dynamisme « Quand on parle d’animation d’un parti on regarde d’abord les jeunes et les femmes. Si tout marche à leur niveau, si là bas il y a du monde, alors on sait que le parti est vivant ».
Prodiguant des conseils il a dit aux jeunes, « Quand on dit ici Toumodi c’est Toumodi, là c’est basé sur quelque chose. Ce n’est pas du vent.
L’histoire est là, les faits sont là et on va le dire mille fois parce que, ici, c’est Toumodi et Toumodi c’est Toumodi. Et c’est pour cela que le Pdci n’a jamais perdu ici depuis 1946, nous sommes le seul département qui peut dire ça ici, en Côte d’Ivoire. Donc Toumodi c’est Toumodi. Il faut que vous les jeunes, vous regardiez vos devanciers.Il faut que vous preniez le chemin de la dignité, la force, la solidité, le courage dont ils ont fait preuve ». Il s’est voulu clair quant à la place que toumodi occupe au sein du gouvernement. « (…) Je voudrais vous saluer. Vous saluez d’abord pour les résultats de l’élection présidentielle. Oui, ces résultats sont avant tout les résultats des secrétaires de section. Le pourcentage que nous avons obtenu à Toumodi, je crois, ressemble à Toumodi. Et aujourd’hui, on ne peut nous faire aucun procès. Oui nous sommes-là à notre place. Parce que nous avons mérité d’être là. Et ce n’est pas seulement en 2015, en 2010. Ce n’était pas aussi facile que ça. En 2010, il fallait avoir le courage de dire on va là. En 2010, Toumodi était martyr. Aujourd’hui, en 2015, tout le monde crie mais avant d’arriver en 2015, il fallait d’abord passer 2010.
Donc soyez rassurés que la place à la quelle Toumodi est, Toumodi le mérite mille et une fois parce que, nous au moins nous n’avons jamais trahi, nous avons toujours maintenu le cap de la justice et de l’honneur pour cette Côte d’Ivoire ».
En Politique, On doit fait ses classes
le ministre qui a dit sa fierté à son permanent pour le travail abattu au sein du parti à ses côtés, a montré la voix à suivre à certains hommes politiques, qui semblent ne pas être satisfaits des choix faits « (…) Avant de me lancer en politique les uns les autres m’avaient vu, je n’ai pas tenu compte de l’environnement qui m’était favorable au plan professionnel, au plan matériel pour dire qu’il faut que je saute pour être ceci. Je suis venu ici à Toumodi, vous m’avez vu.
J’ai été conseiller municipal, puis député. Quand j’ai été député là-bas encore, j’ai fait Cp1, Cp2, Cp3, Cp4. J’ai été rapporteur de plusieurs petites commissions après, j’ai été rapporteur général de la Commission défense, après j’ai été vice-président, c’est après que je suis devenu ministre. J’ai eu mon premier mandat électif en 1990, c’est en 2005, 15 ans après, que je suis devenu ministre pourtant on ne va pas dire qu’ici (montrant sa tête), il n’y en a pas un peu. Mais c’est la règle, parce qu’il n’y a pas d’école pour être ministre. Il n’y a pas d’école pour être président de la République. Il n’y a pas d’école pour être président d’Institution. La politique, c’est l’école de la vie, il faut faire ses classes pour arriver là où on doit arriver.
On ne va pas dormir devant la porte des gens pendant des mois et des mois et puis un matin, on dit mon petit tiens. Ca ne se passe pas comme ça chez nous à Toumodi. On ne fonctionne pas comme ça. Et nos devanciers aussi ont fait leurs classes, on les a vus. Donc ici à Toumodi, on fait nos clases pour avoir ce que Dieu veut bien nous donner. C’est ça aussi la leçon de ce que nous faisons ici à Toumodi ». aussi, a-t-il exprimé sa gratitude aux Présidents Ouattara et Bédié pour la confiance renouvelée.
Il s’est voulu clair quant au remaniement « Enfin, je voudrais dire merci au président Henri Konan Bédié qui m’a conservé sa confiance. Je voudrais dire merci également au président Ouattara qui, en homme visionnaire, sait qu’un gouvernement, on n’y va pas pour jouer "binébiné" et puis après c’est mon tour. Il y a un travail à faire pour toute une nation, ce n’est pas un jeu. Les questions qui se débattent là-bas sont très complexes et quand vous êtes un pays en développement, les questions sont encore plus complexes. Chez les Blancs, tout est déjà fait, mais ici, tout est à faire.
Donc, celui qui est élu s’entoure des personnes qui peuvent l’aider à faire son travail. Point à la ligne. Moi-même, ici, je prends les gens qui peuvent faire mon travail, c’est ceux qui m’arrangent que je prends. Donc, il a eu cette vision et il n’a pas cédé aux pressions et il a maintenu le cap. En tout cas, en ce qui me concerne, il m’a fait confiance, je voudrais publiquement lui dire merci », a-signifié avant d’inviter les uns les autres à se mettre ensemble pour penser le développement de toumodi.
J.P.L
Il a reçu les voeux de ses soldats,militants du Pdci-Rda de sa délégation. lui, c’est le ministre allah Kouadio Rémi, délégué départemental Pdci-Rda toumodi I. C’est dans une joie indescriptible soutenue par la chorale catholique, que la jeunesse du parti conduite par Fulgence Kouassi, l’Ufpdci de Mme Djamala thérèse, les secrétaires généraux de section, par la voix de leur président, Justin Koffi et le permanent de la délégation, le député Boni Octave ont salué et félicité leur mentor. Ils ont salué son maintien au gouvernement. ayant autour de lui son épouse et l’inspectrice du parti, le maire de Toumodi, Me tchina Simone et bien d’autres cadres du parti, le patron du parti dans la cité de l’agouti s’est d’abord réjoui avec ses militants pour la joie retrouvée. « Chers frères, chères soeurs, je suis content d’être avec vous. Je suis content que vous soyez là. Honnêtement, lorsque parfois nous sommes inquiets, c’est d’abord surtout pour vous. Parce qu’on se dit que si les nouvelles ne sont pas bonnes vous allez tellement souffrir, à cause de l’amour que vous nous portez, c’est ça qui nous fait peur et non autre chose. Et grâce à Dieu aujourd’hui, vous venez me voir et vous êtes dans la joie, vous ne pouvez pas comprendre mon bonheur…»
C’est ainsi que le ministre allah a traduit sa gratitude à son aînés dont tchina Simone pour sa présence à ses côtés. Il a aussi félicité les structures spécialisées de la Jpdci et l’Ufpdci pour leur dynamisme « Quand on parle d’animation d’un parti on regarde d’abord les jeunes et les femmes. Si tout marche à leur niveau, si là bas il y a du monde, alors on sait que le parti est vivant ».
Prodiguant des conseils il a dit aux jeunes, « Quand on dit ici Toumodi c’est Toumodi, là c’est basé sur quelque chose. Ce n’est pas du vent.
L’histoire est là, les faits sont là et on va le dire mille fois parce que, ici, c’est Toumodi et Toumodi c’est Toumodi. Et c’est pour cela que le Pdci n’a jamais perdu ici depuis 1946, nous sommes le seul département qui peut dire ça ici, en Côte d’Ivoire. Donc Toumodi c’est Toumodi. Il faut que vous les jeunes, vous regardiez vos devanciers.Il faut que vous preniez le chemin de la dignité, la force, la solidité, le courage dont ils ont fait preuve ». Il s’est voulu clair quant à la place que toumodi occupe au sein du gouvernement. « (…) Je voudrais vous saluer. Vous saluez d’abord pour les résultats de l’élection présidentielle. Oui, ces résultats sont avant tout les résultats des secrétaires de section. Le pourcentage que nous avons obtenu à Toumodi, je crois, ressemble à Toumodi. Et aujourd’hui, on ne peut nous faire aucun procès. Oui nous sommes-là à notre place. Parce que nous avons mérité d’être là. Et ce n’est pas seulement en 2015, en 2010. Ce n’était pas aussi facile que ça. En 2010, il fallait avoir le courage de dire on va là. En 2010, Toumodi était martyr. Aujourd’hui, en 2015, tout le monde crie mais avant d’arriver en 2015, il fallait d’abord passer 2010.
Donc soyez rassurés que la place à la quelle Toumodi est, Toumodi le mérite mille et une fois parce que, nous au moins nous n’avons jamais trahi, nous avons toujours maintenu le cap de la justice et de l’honneur pour cette Côte d’Ivoire ».
En Politique, On doit fait ses classes
le ministre qui a dit sa fierté à son permanent pour le travail abattu au sein du parti à ses côtés, a montré la voix à suivre à certains hommes politiques, qui semblent ne pas être satisfaits des choix faits « (…) Avant de me lancer en politique les uns les autres m’avaient vu, je n’ai pas tenu compte de l’environnement qui m’était favorable au plan professionnel, au plan matériel pour dire qu’il faut que je saute pour être ceci. Je suis venu ici à Toumodi, vous m’avez vu.
J’ai été conseiller municipal, puis député. Quand j’ai été député là-bas encore, j’ai fait Cp1, Cp2, Cp3, Cp4. J’ai été rapporteur de plusieurs petites commissions après, j’ai été rapporteur général de la Commission défense, après j’ai été vice-président, c’est après que je suis devenu ministre. J’ai eu mon premier mandat électif en 1990, c’est en 2005, 15 ans après, que je suis devenu ministre pourtant on ne va pas dire qu’ici (montrant sa tête), il n’y en a pas un peu. Mais c’est la règle, parce qu’il n’y a pas d’école pour être ministre. Il n’y a pas d’école pour être président de la République. Il n’y a pas d’école pour être président d’Institution. La politique, c’est l’école de la vie, il faut faire ses classes pour arriver là où on doit arriver.
On ne va pas dormir devant la porte des gens pendant des mois et des mois et puis un matin, on dit mon petit tiens. Ca ne se passe pas comme ça chez nous à Toumodi. On ne fonctionne pas comme ça. Et nos devanciers aussi ont fait leurs classes, on les a vus. Donc ici à Toumodi, on fait nos clases pour avoir ce que Dieu veut bien nous donner. C’est ça aussi la leçon de ce que nous faisons ici à Toumodi ». aussi, a-t-il exprimé sa gratitude aux Présidents Ouattara et Bédié pour la confiance renouvelée.
Il s’est voulu clair quant au remaniement « Enfin, je voudrais dire merci au président Henri Konan Bédié qui m’a conservé sa confiance. Je voudrais dire merci également au président Ouattara qui, en homme visionnaire, sait qu’un gouvernement, on n’y va pas pour jouer "binébiné" et puis après c’est mon tour. Il y a un travail à faire pour toute une nation, ce n’est pas un jeu. Les questions qui se débattent là-bas sont très complexes et quand vous êtes un pays en développement, les questions sont encore plus complexes. Chez les Blancs, tout est déjà fait, mais ici, tout est à faire.
Donc, celui qui est élu s’entoure des personnes qui peuvent l’aider à faire son travail. Point à la ligne. Moi-même, ici, je prends les gens qui peuvent faire mon travail, c’est ceux qui m’arrangent que je prends. Donc, il a eu cette vision et il n’a pas cédé aux pressions et il a maintenu le cap. En tout cas, en ce qui me concerne, il m’a fait confiance, je voudrais publiquement lui dire merci », a-signifié avant d’inviter les uns les autres à se mettre ensemble pour penser le développement de toumodi.
J.P.L