Mesdames et Messieurs les Hauts Conseillers ;
Monsieur le Secrétaire Général du Conseil Constitutionnel ;
Monsieur le Directeur de cabinet ;
Monsieur le chef de cabinet ;
Messieurs les Conseillers Techniques ;
Monsieur le Directeur des Affaires Financières ;
Mesdames et Messieurs les chefs de service ;
Mesdames, Mesdemoiselles et Messieurs, en vos rangs, grades et qualités ;
Mesdames et Messieurs de la Presse écrite et audiovisuelle ;
Messieurs les Officiers, sous-Officiers et Militaires du rang ;
Mesdames et Messieurs.
Mesdames et Messieurs, distingués collaborateurs.
C’est avec un réel plaisir que je reçois les vœux particulièrement chaleureux, empreints de sympathie et d’affection que vous avez formés à mon endroit et pour les membres de ma famille, ainsi que pour les éminents membres du Conseil constitutionnel, pour le Secrétaire Général de l’institution et pour mes autres plus proches collaborateurs.
En leurs noms à tous et au mien propre, je tiens en retour à vous remercier très sincèrement pour ces vœux choisis et auxquels je ne puis m’empêcher d’être particulièrement sensible.
Vous me permettrez également d’exprimer mon admiration à chacun de vos porte-paroles, à la tête desquels, le Professeur Hyacinthe SARASSORO, Doyen des Hauts Conseillers.
Mesdames et Messieurs, chers collaborateurs.
La cérémonie qui nous réunit ce matin, à quelques jours du premier anniversaire de mon arrivée à la tête du Conseil constitutionnel, célèbre une tradition ancienne d’échange de vœux à l’occasion du nouvel an, entre personnes animées par une affection réciproque motivée par une communauté d’intérêt moral et spirituel.
C’est donc avec joie que j’adresse à mon tour à vous tous et à chacun d’entre vous, des vœux de Santé et de Prospérité, ainsi que des vœux pour la Paix du cœur et de l’esprit.
Persuadé comme le Bon Samaritain des écritures saintes ou comme cet illustre humaniste qu’est le Pasteur Raoul FOLLEREAU, de ce que « nul n’a le droit d’être heureux tout seul », je demeure profondément attaché au Bonheur partagé.
C’est pourquoi je voudrais étendre à tous ceux qui vous sont chers, les vœux que je forme pour vous.
Mesdames et Messieurs, distingués collaborateurs.
A travers les vœux que vous m’avez adressés, j’ai noté que vous m’offrez également votre engagement à mes côtés, en vue du succès de notre mission commune.
Beaucoup d’ivoiriens s’attendaient à revivre les affres de la dernière crise postélectorale eu égard aux enjeux électoraux de l’année 2015.
Mais, fort heureusement, les élections se sont déroulées dans le calme et tous ceux qui en doutaient, ont réalisé que leurs profondes inquiétudes s’étaient avérées sans fondement, au lendemain du scrutin organisé pour l’élection présidentielle.
Chers collaborateurs.
Nous pouvons à juste titre, considérer ce dénouement comme une grande victoire aussi bien pour la Côte d’Ivoire que pour le Conseil constitutionnel.
Et ce, d’autant que l’année 2015 avait elle-même commencé avec beaucoup d’incertitudes au niveau de notre institution, en raison des circonstances particulières qui m’ont conduit à la tête du Conseil constitutionnel.
Aujourd’hui, c’est-à-dire au lendemain de l’élection présidentielle qui vient de se dérouler, la Côte d’Ivoire fait de moins en moins peur car les populations y vivent en paix.
Ce climat de Paix qui prévaut dans notre pays est rassurant et réconfortant.
Je note même que nous enregistrons depuis l’élection présidentielle, de nombreuses plaintes qui, bien que relevant des juridictions de droit commun, nous sont adressées.
Il peut s’agir d’une méconnaissance du fonctionnement des Institutions. Mais il peut aussi s’agir d’une marque de confiance à l’égard du Conseil, perçu comme l’organe pouvant leur rendre justice.
Mais, est-t-il nécessaire de vous dire que la confiance ainsi faite au Conseil constitutionnel résulte du travail et de l’effort de chacun d’entre vous ?
Lors de notre première rencontre ici, après ma prise de fonctions, je vous avais fait remarquer que la guerre que nous avons connue en 2010-2011 était partie du Conseil constitutionnel, et que la paix devait aussi venir du Conseil constitutionnel.
Nous pouvons donc déjà nous féliciter de ce que les décisions que nous avons rendues à l’occasion de l’élection du Président de la République n’aient pas entrainé une autre guerre.
Je vous invite donc à partager sans fausse modestie, les fruits de cette réussite collective, et j’exhorte chacun d’entre vous, à maintenir le Conseil constitutionnel au niveau où nous l’avons ensemble hissé par notre détermination.
Je ne saurais terminer mon adresse de ce jour sans évoquer les préoccupations que nous avons en partage et dont pour quelques-unes, vos porte-paroles viennent de me faire courtoisement un appel de pied.
Il s’agit en effet, des conditions de travail et de rémunération au sein de notre institution.
Je prends bonne note du rappel que vous venez d’en faire.
Etant maintenant libéré des contraintes liées à l’élection du Président de la République, nous consacrerons le temps nécessaire à leur examen.
Mesdames et Messieurs, chers collaborateurs,
Comme vous le savez, mon désir d’améliorer les conditions de vie et de travail au sein de l’institution est réel.
Durant l’année 2015, cette volonté s’est traduite par des actions concrètes telles que l’accroissement notable du parc auto du Conseil constitutionnel, aussi bien pour les Hauts Conseillers et le Secrétaire Général, que pour les membres du Cabinet et les différents chefs de Services.
En ce qui concerne le siège de notre institution, je suis comme vous, conscient de son exiguïté et ai en projet son extension et sa modernisation.
Dans ce cadre, un ensemble de quatre parcelles de terrain ont été identifiées dans la commune du Plateau et les procédures en vue de leur acquisition avancent avec satisfaction.
Mesdames et Messieurs, distingués collaborateurs.
Il me faut conclure.
Ce début d’année 2016 est marqué comme vous le savez, par la perspective d’une réforme constitutionnelle et par l’échéance capitale que constituent les élections législatives, deux actes déterminants pour la vie de la Nation.
C’est ensemble que nous devons faire face à tous les défis et à tous les challenges et être prêts à les relever !
Pour ce faire, je vous invite avec une insistance particulière, à préserver au sein de notre institution, un esprit de cohésion, de convivialité et de fraternité, mais également de Rigueur, d’Objectivité, de Probité morale et intellectuelle et de Sagesse.
Mesdames et Messieurs les membres du Conseil Constitutionnel ;
Monsieur le Secrétaire Général du Conseil Constitutionnel ;
Madame et Messieurs les membres du Cabinet ;
Mesdames et Messieurs les Directeur et chefs de service ;
Mesdames, Mesdemoiselles et Messieurs.
En vous renouvelant mes sincères remerciements, je prie le Tout puissant afin qu’il vous donne la sagesse de continuer de bien faire ce que nous avons ensemble commencé.
Je ne saurais clore mon propos sans réitérer à l’endroit de chacun et de chacune d’entre vous, mes vœux les meilleurs.
Bonne et Heureuse Année 2016 à tous !
Mamadou Koné, président du Conseil constitutionnel
Monsieur le Secrétaire Général du Conseil Constitutionnel ;
Monsieur le Directeur de cabinet ;
Monsieur le chef de cabinet ;
Messieurs les Conseillers Techniques ;
Monsieur le Directeur des Affaires Financières ;
Mesdames et Messieurs les chefs de service ;
Mesdames, Mesdemoiselles et Messieurs, en vos rangs, grades et qualités ;
Mesdames et Messieurs de la Presse écrite et audiovisuelle ;
Messieurs les Officiers, sous-Officiers et Militaires du rang ;
Mesdames et Messieurs.
Mesdames et Messieurs, distingués collaborateurs.
C’est avec un réel plaisir que je reçois les vœux particulièrement chaleureux, empreints de sympathie et d’affection que vous avez formés à mon endroit et pour les membres de ma famille, ainsi que pour les éminents membres du Conseil constitutionnel, pour le Secrétaire Général de l’institution et pour mes autres plus proches collaborateurs.
En leurs noms à tous et au mien propre, je tiens en retour à vous remercier très sincèrement pour ces vœux choisis et auxquels je ne puis m’empêcher d’être particulièrement sensible.
Vous me permettrez également d’exprimer mon admiration à chacun de vos porte-paroles, à la tête desquels, le Professeur Hyacinthe SARASSORO, Doyen des Hauts Conseillers.
Mesdames et Messieurs, chers collaborateurs.
La cérémonie qui nous réunit ce matin, à quelques jours du premier anniversaire de mon arrivée à la tête du Conseil constitutionnel, célèbre une tradition ancienne d’échange de vœux à l’occasion du nouvel an, entre personnes animées par une affection réciproque motivée par une communauté d’intérêt moral et spirituel.
C’est donc avec joie que j’adresse à mon tour à vous tous et à chacun d’entre vous, des vœux de Santé et de Prospérité, ainsi que des vœux pour la Paix du cœur et de l’esprit.
Persuadé comme le Bon Samaritain des écritures saintes ou comme cet illustre humaniste qu’est le Pasteur Raoul FOLLEREAU, de ce que « nul n’a le droit d’être heureux tout seul », je demeure profondément attaché au Bonheur partagé.
C’est pourquoi je voudrais étendre à tous ceux qui vous sont chers, les vœux que je forme pour vous.
Mesdames et Messieurs, distingués collaborateurs.
A travers les vœux que vous m’avez adressés, j’ai noté que vous m’offrez également votre engagement à mes côtés, en vue du succès de notre mission commune.
Beaucoup d’ivoiriens s’attendaient à revivre les affres de la dernière crise postélectorale eu égard aux enjeux électoraux de l’année 2015.
Mais, fort heureusement, les élections se sont déroulées dans le calme et tous ceux qui en doutaient, ont réalisé que leurs profondes inquiétudes s’étaient avérées sans fondement, au lendemain du scrutin organisé pour l’élection présidentielle.
Chers collaborateurs.
Nous pouvons à juste titre, considérer ce dénouement comme une grande victoire aussi bien pour la Côte d’Ivoire que pour le Conseil constitutionnel.
Et ce, d’autant que l’année 2015 avait elle-même commencé avec beaucoup d’incertitudes au niveau de notre institution, en raison des circonstances particulières qui m’ont conduit à la tête du Conseil constitutionnel.
Aujourd’hui, c’est-à-dire au lendemain de l’élection présidentielle qui vient de se dérouler, la Côte d’Ivoire fait de moins en moins peur car les populations y vivent en paix.
Ce climat de Paix qui prévaut dans notre pays est rassurant et réconfortant.
Je note même que nous enregistrons depuis l’élection présidentielle, de nombreuses plaintes qui, bien que relevant des juridictions de droit commun, nous sont adressées.
Il peut s’agir d’une méconnaissance du fonctionnement des Institutions. Mais il peut aussi s’agir d’une marque de confiance à l’égard du Conseil, perçu comme l’organe pouvant leur rendre justice.
Mais, est-t-il nécessaire de vous dire que la confiance ainsi faite au Conseil constitutionnel résulte du travail et de l’effort de chacun d’entre vous ?
Lors de notre première rencontre ici, après ma prise de fonctions, je vous avais fait remarquer que la guerre que nous avons connue en 2010-2011 était partie du Conseil constitutionnel, et que la paix devait aussi venir du Conseil constitutionnel.
Nous pouvons donc déjà nous féliciter de ce que les décisions que nous avons rendues à l’occasion de l’élection du Président de la République n’aient pas entrainé une autre guerre.
Je vous invite donc à partager sans fausse modestie, les fruits de cette réussite collective, et j’exhorte chacun d’entre vous, à maintenir le Conseil constitutionnel au niveau où nous l’avons ensemble hissé par notre détermination.
Je ne saurais terminer mon adresse de ce jour sans évoquer les préoccupations que nous avons en partage et dont pour quelques-unes, vos porte-paroles viennent de me faire courtoisement un appel de pied.
Il s’agit en effet, des conditions de travail et de rémunération au sein de notre institution.
Je prends bonne note du rappel que vous venez d’en faire.
Etant maintenant libéré des contraintes liées à l’élection du Président de la République, nous consacrerons le temps nécessaire à leur examen.
Mesdames et Messieurs, chers collaborateurs,
Comme vous le savez, mon désir d’améliorer les conditions de vie et de travail au sein de l’institution est réel.
Durant l’année 2015, cette volonté s’est traduite par des actions concrètes telles que l’accroissement notable du parc auto du Conseil constitutionnel, aussi bien pour les Hauts Conseillers et le Secrétaire Général, que pour les membres du Cabinet et les différents chefs de Services.
En ce qui concerne le siège de notre institution, je suis comme vous, conscient de son exiguïté et ai en projet son extension et sa modernisation.
Dans ce cadre, un ensemble de quatre parcelles de terrain ont été identifiées dans la commune du Plateau et les procédures en vue de leur acquisition avancent avec satisfaction.
Mesdames et Messieurs, distingués collaborateurs.
Il me faut conclure.
Ce début d’année 2016 est marqué comme vous le savez, par la perspective d’une réforme constitutionnelle et par l’échéance capitale que constituent les élections législatives, deux actes déterminants pour la vie de la Nation.
C’est ensemble que nous devons faire face à tous les défis et à tous les challenges et être prêts à les relever !
Pour ce faire, je vous invite avec une insistance particulière, à préserver au sein de notre institution, un esprit de cohésion, de convivialité et de fraternité, mais également de Rigueur, d’Objectivité, de Probité morale et intellectuelle et de Sagesse.
Mesdames et Messieurs les membres du Conseil Constitutionnel ;
Monsieur le Secrétaire Général du Conseil Constitutionnel ;
Madame et Messieurs les membres du Cabinet ;
Mesdames et Messieurs les Directeur et chefs de service ;
Mesdames, Mesdemoiselles et Messieurs.
En vous renouvelant mes sincères remerciements, je prie le Tout puissant afin qu’il vous donne la sagesse de continuer de bien faire ce que nous avons ensemble commencé.
Je ne saurais clore mon propos sans réitérer à l’endroit de chacun et de chacune d’entre vous, mes vœux les meilleurs.
Bonne et Heureuse Année 2016 à tous !
Mamadou Koné, président du Conseil constitutionnel