La sécurité aux frontières de la Côte d’Ivoire et du Liberia s’est "considérablement améliorée", a estimé lundi le président ivoirien Alassane Ouattara, admettant toutefois que "des risques sécuritaires existent", à l’occasion de la deuxième réunion du Conseil conjoint des chefs coutumiers et anciens (CCCA) des deux pays.
"La sécurité s’est considérablement améliorée à nos frontières mais des risques sécuritaires existent toujours", a déclaré M. Ouattara à Guiglo (ouest ivoirien), soulignant le "caractère irréversible de la dynamique" qui a été engagée avec ce pays voisin.
Il a par ailleurs souhaité que "l’élan impulsé par cette rencontre" amène les deux Etats à "mutualiser (leurs) efforts pour le règlement des problèmes transfrontaliers".
Cette réunion entre les chefs coutumiers et les anciens des deux pays, à laquelle ont pris part Alassane Ouattara et son homologue libérienne Ellen Johnson Sirleaf, se situe dans le cadre du "renforcement de (leur) coopération économique, sociale et sécuritaire". La première rencontre du genre s’est tenue il y a trois ans à Zwedru au Liberia.
La déclaration de M. Ouattara intervient plus d’un mois après l’attaque armée d’une sous-préfecture du département de Tabou (sud-ouest de la Côte d’Ivoire) par des individus en provenance de la frontière libérienne, causant la mort de sept soldats ivoiriens.
MYA
"La sécurité s’est considérablement améliorée à nos frontières mais des risques sécuritaires existent toujours", a déclaré M. Ouattara à Guiglo (ouest ivoirien), soulignant le "caractère irréversible de la dynamique" qui a été engagée avec ce pays voisin.
Il a par ailleurs souhaité que "l’élan impulsé par cette rencontre" amène les deux Etats à "mutualiser (leurs) efforts pour le règlement des problèmes transfrontaliers".
Cette réunion entre les chefs coutumiers et les anciens des deux pays, à laquelle ont pris part Alassane Ouattara et son homologue libérienne Ellen Johnson Sirleaf, se situe dans le cadre du "renforcement de (leur) coopération économique, sociale et sécuritaire". La première rencontre du genre s’est tenue il y a trois ans à Zwedru au Liberia.
La déclaration de M. Ouattara intervient plus d’un mois après l’attaque armée d’une sous-préfecture du département de Tabou (sud-ouest de la Côte d’Ivoire) par des individus en provenance de la frontière libérienne, causant la mort de sept soldats ivoiriens.
MYA