Les médias ivoiriens, par la voix du président de l’Union nationale des journalistes de Côte d’Ivoire (UNJCI), Traoré Moussa, ont félicité le chef de l’Etat, Alassane Ouattara, pour toutes les avancées enregistrées dans le secteur sous son pouvoir.
Mercredi lors de la cérémonie de présentation des vœux des médias au Président de la République organisée à la salle des pas perdus du palais présidentiel, Traoré Moussa a rappelé quelques unes de ces réalisations.
Il a énuméré notamment le nouveau statut juridique accordé à l’Agence Ivoirienne de Presse (AIP), le financement de six mois d’impression gratuite des journaux privés, la consécration de liberté d’expression et du libre exercice du métier de journaliste, quelque soit la ligne éditoriale. A ce niveau, il noté l’inexistence en Côte d’Ivoire de cas de journaliste emprisonné ou tué dans l’exercice de sa profession.
Les appuis financiers pour l’organisation des la Journée mondiale de la liberté de la presse, du congrès de l’UNJCI, de la Nuit de la Communication (Prix Ebony), entre autres, figurent au nombre des hauts faits du Président Alassane Ouattara à l’intention du secteur.
L’achèvement des travaux de l’amphithéâtre de l’Institut des sciences et techniques de la communication (ISTC) dont la première pierre avait été posée en 1998, la création de l’Ordre de la communication permettant de récompenser les meilleurs du secteur, la mise en place de la Commission d’accès à l’information d’intérêt public et aux documents publics (CAIDP), sont des sujets également affichés au « tableau clinique de la presse » dressé par Traoré Moussa.
Toutefois, ce dernier a déploré la non distribution des journaux sur l’ensemble du territoire national, le phénomène de la « titrologie » qui a atteint des proportions endémiques, la location des journaux par des revendeurs véreux, toutes choses qui influent sur le chiffre d’affaires des entreprises de presse, ainsi que la révolution du numérique et des réseaux sociaux qui livrent une concurrence impitoyable à la presse écrite.
« La situation est devenue intenable, cependant nous ne désespérons pas parce que nous avons foi en vous », a déclaré le président de l’UNJCI au chef de l’Etat. Citant un adage selon lequel « on ne prend pas la salive pour laver les mains lorsqu’on est au bord de la rivière », Traoré Moussa a fait des doléances auprès du Président Alassane Ouattara.
Celles-ci concernent, entre autres, la prise en compte de la presse en ligne dans la libéralisation tant attendue de l’espace audiovisuel, le paiement des agents de radio de proximité au moins au SMIG, et le renouvellement des organes des structures de régulation de la presse écrite (CNP) et audiovisuel (HACA).
Des doléances répondues une par une par le Président Alassane Ouattara qui a affirmé militer pour une presse indépendante et responsable devant prendre sa part dans l’émergence de la Côte d’Ivoire.
cmas
Mercredi lors de la cérémonie de présentation des vœux des médias au Président de la République organisée à la salle des pas perdus du palais présidentiel, Traoré Moussa a rappelé quelques unes de ces réalisations.
Il a énuméré notamment le nouveau statut juridique accordé à l’Agence Ivoirienne de Presse (AIP), le financement de six mois d’impression gratuite des journaux privés, la consécration de liberté d’expression et du libre exercice du métier de journaliste, quelque soit la ligne éditoriale. A ce niveau, il noté l’inexistence en Côte d’Ivoire de cas de journaliste emprisonné ou tué dans l’exercice de sa profession.
Les appuis financiers pour l’organisation des la Journée mondiale de la liberté de la presse, du congrès de l’UNJCI, de la Nuit de la Communication (Prix Ebony), entre autres, figurent au nombre des hauts faits du Président Alassane Ouattara à l’intention du secteur.
L’achèvement des travaux de l’amphithéâtre de l’Institut des sciences et techniques de la communication (ISTC) dont la première pierre avait été posée en 1998, la création de l’Ordre de la communication permettant de récompenser les meilleurs du secteur, la mise en place de la Commission d’accès à l’information d’intérêt public et aux documents publics (CAIDP), sont des sujets également affichés au « tableau clinique de la presse » dressé par Traoré Moussa.
Toutefois, ce dernier a déploré la non distribution des journaux sur l’ensemble du territoire national, le phénomène de la « titrologie » qui a atteint des proportions endémiques, la location des journaux par des revendeurs véreux, toutes choses qui influent sur le chiffre d’affaires des entreprises de presse, ainsi que la révolution du numérique et des réseaux sociaux qui livrent une concurrence impitoyable à la presse écrite.
« La situation est devenue intenable, cependant nous ne désespérons pas parce que nous avons foi en vous », a déclaré le président de l’UNJCI au chef de l’Etat. Citant un adage selon lequel « on ne prend pas la salive pour laver les mains lorsqu’on est au bord de la rivière », Traoré Moussa a fait des doléances auprès du Président Alassane Ouattara.
Celles-ci concernent, entre autres, la prise en compte de la presse en ligne dans la libéralisation tant attendue de l’espace audiovisuel, le paiement des agents de radio de proximité au moins au SMIG, et le renouvellement des organes des structures de régulation de la presse écrite (CNP) et audiovisuel (HACA).
Des doléances répondues une par une par le Président Alassane Ouattara qui a affirmé militer pour une presse indépendante et responsable devant prendre sa part dans l’émergence de la Côte d’Ivoire.
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