Le Président Alassane Ouattara félicite la presse nationale et internationale exerçant en Côte d’Ivoire, pour sa remarquable contribution à la tenue de l’élection présidentielle du 25 octobre 2015 dans un climat apaisé.
Mercredi lors de la cérémonie de présentation des voeux des médias et organisations du secteur, le chef de l’Etat a estimé que l’organisation sans accroc de ce scrutin a été aussi due à la maturité et au professionnalisme des médias.
Aussi, a-t-il énuméré des actes importants posés par le Gouvernement en vue d’avoir une presse plus professionnelle et plus responsable. Alassane Ouattara a cité, entre autres, la réhabilitation du siège et de six bureaux régionaux de l’Agence Ivoirienne de Presse (AIP); neuf mois de subvention d’impression d’un montant cumulé de plus d’un milliard FCFA aux entreprises de presse privées en 2014 et 2015, ce qui a valu au Fonds de soutien et de développement de la presse (FSDP), le prix de meilleure institution africaine de soutien aux médias. Comme corollaire, a soutenu le chef de l’Etat, les patrons de presse devraient payer de façon décente leurs employés, selon la convention collective, et avoir une gestion plus efficace de leurs entreprises.
Le Président Alassane Ouattara s’est également réjoui de l’achèvement des travaux de construction suivie de l’inauguration de l’amphithéâtre de l’Institut des sciences et techniques de la communication (ISTC) dont la première pierre avait été posée en 1998, la couverture de zones étrangères par la Radiodiffusion Télévision Ivoirienne (RTI), l’autorisation accordée à trois nouvelles radios commerciales, l’existence de 150 radios de proximité à travers le pays.
Il a cité aussi la création de la Commission d’accès à l’information d’intérêt public et aux documents publics (CAIDP) pour rendre accessible les sources d’information publiques, l’inexistence de journaliste tué ou emprisonné dans l’exercice du métier, le bond qualitatif effectué par la Côte d’Ivoire au classement mondial sur la liberté de la presse, l’organisation en octobre du 1er Colloque international sur la liberté de la presse qui a abouti à la création d’un Observatoire africain de la liberté de la presse et de l’institution d’une Journée dédiée.
« La marche de notre pays vers l’émergence est un processus irréversible qui engage tous les acteurs de notre pays », a déclaré le Président de la République, invitant les acteurs des médias ivoiriens à être une référence pour les autres et à « contribuer à l’avènement d’un Ivoirien nouveau auquel nous aspirons tous ».
Au titre des chantiers en cours, Alassane Ouattara a énuméré la libéralisation de l’espace télévisuel tout en affirmant que la volonté politique à cet effet est ferme, ainsi que le processus de transition vers la TNT (Télévision numérique terrestre) qui est en bonne voie. « La Côte d’Ivoire va connaître de nouveaux rendez-vous importants en 2016 », a fait observer le chef de l’Etat, évoquant notamment la réforme de la Constitution de la Troisième République. Il a donc dit compter sur les médias pour informer les Ivoiriens, afin d’éviter les débats qui ont divisé ces derniers par le passé, rassurant que « l’Etat continuera de faire sa part ».
cmas
Mercredi lors de la cérémonie de présentation des voeux des médias et organisations du secteur, le chef de l’Etat a estimé que l’organisation sans accroc de ce scrutin a été aussi due à la maturité et au professionnalisme des médias.
Aussi, a-t-il énuméré des actes importants posés par le Gouvernement en vue d’avoir une presse plus professionnelle et plus responsable. Alassane Ouattara a cité, entre autres, la réhabilitation du siège et de six bureaux régionaux de l’Agence Ivoirienne de Presse (AIP); neuf mois de subvention d’impression d’un montant cumulé de plus d’un milliard FCFA aux entreprises de presse privées en 2014 et 2015, ce qui a valu au Fonds de soutien et de développement de la presse (FSDP), le prix de meilleure institution africaine de soutien aux médias. Comme corollaire, a soutenu le chef de l’Etat, les patrons de presse devraient payer de façon décente leurs employés, selon la convention collective, et avoir une gestion plus efficace de leurs entreprises.
Le Président Alassane Ouattara s’est également réjoui de l’achèvement des travaux de construction suivie de l’inauguration de l’amphithéâtre de l’Institut des sciences et techniques de la communication (ISTC) dont la première pierre avait été posée en 1998, la couverture de zones étrangères par la Radiodiffusion Télévision Ivoirienne (RTI), l’autorisation accordée à trois nouvelles radios commerciales, l’existence de 150 radios de proximité à travers le pays.
Il a cité aussi la création de la Commission d’accès à l’information d’intérêt public et aux documents publics (CAIDP) pour rendre accessible les sources d’information publiques, l’inexistence de journaliste tué ou emprisonné dans l’exercice du métier, le bond qualitatif effectué par la Côte d’Ivoire au classement mondial sur la liberté de la presse, l’organisation en octobre du 1er Colloque international sur la liberté de la presse qui a abouti à la création d’un Observatoire africain de la liberté de la presse et de l’institution d’une Journée dédiée.
« La marche de notre pays vers l’émergence est un processus irréversible qui engage tous les acteurs de notre pays », a déclaré le Président de la République, invitant les acteurs des médias ivoiriens à être une référence pour les autres et à « contribuer à l’avènement d’un Ivoirien nouveau auquel nous aspirons tous ».
Au titre des chantiers en cours, Alassane Ouattara a énuméré la libéralisation de l’espace télévisuel tout en affirmant que la volonté politique à cet effet est ferme, ainsi que le processus de transition vers la TNT (Télévision numérique terrestre) qui est en bonne voie. « La Côte d’Ivoire va connaître de nouveaux rendez-vous importants en 2016 », a fait observer le chef de l’Etat, évoquant notamment la réforme de la Constitution de la Troisième République. Il a donc dit compter sur les médias pour informer les Ivoiriens, afin d’éviter les débats qui ont divisé ces derniers par le passé, rassurant que « l’Etat continuera de faire sa part ».
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