Le secrétaire général de l’ONU, Ban Ki-moon, et les membres du Conseil de paix et de sécurité (CPS) de l’Union africaine (UA) ont promis vendredi de n’épargner aucun effort pour lutter contre le terrorisme et les guerres civiles en Afrique.
Lors d’une réunion du CPS à Addis-Abeba (Ethiopie), M. Ban a estimé que "le terrorisme et l’extrémisme violent qui frappent le continent constituent un frein au progrès économique, à la paix et à l’unité. La menace terroriste entrave également les opérations de paix au Mali et en Somalie".
S’inquiétant de la radicalisation alarmante de la jeunesse africaine, Ban Ki-moon a exhorté les gouvernements à privilégier le développement inclusif, la bonne gouvernance et les droits de l’Homme afin d’empêcher les plus vulnérables de rejoindre les groupes militants.
"Les gouvernements africains doivent être en première ligne pour combattre l’extrémisme violent. Pour remporter cette guerre contre le terrorisme, nous devons moins nous concentrer sur les interventions militaires et davantage investir dans l’éducation des jeunes, le développement et la bonne gouvernance", a-t-il dit.
A la veille du 26e sommet des chefs d’Etat et de gouvernement de l’UA, le secrétaire général des Nations Unies a également exhorté les dirigeants africains à soutenir les efforts de paix et de réconciliation dans des zones troublées telles que le Soudan du Sud et le Burundi.
"J’en appelle aux bélligérants au Soudan du Sud à accélérer la formation d’un gouvernement d’union nationale", a-t-il lancé en promettant également de soutenir les efforts pour mettre fin à la crise politique au Burundi.
Teodoro Obiang Nguema, président du CPS et de la Guinée équatoriale, a convenu que le continent devait lutter d’urgence contre les deux fléaux que sont le terrorisme et les guerres civiles.
"Nous devons adopter des mesures pour contenir les menaces que sont le terrorisme, le fondamentalisme religieux et les conflits qui ont miné notre capacité à bâtir un continent stable, pacifique et prospère", a-t-il dit.
M. Obiang a par ailleurs annoncé que les Etats membres de l’Union africaine avaient adopté une position commune pour lutter de façon déterminée contre les groupes terroristes tels que Boko Haram au Nigeria et les Shebab en Somalie.
Lors d’une réunion du CPS à Addis-Abeba (Ethiopie), M. Ban a estimé que "le terrorisme et l’extrémisme violent qui frappent le continent constituent un frein au progrès économique, à la paix et à l’unité. La menace terroriste entrave également les opérations de paix au Mali et en Somalie".
S’inquiétant de la radicalisation alarmante de la jeunesse africaine, Ban Ki-moon a exhorté les gouvernements à privilégier le développement inclusif, la bonne gouvernance et les droits de l’Homme afin d’empêcher les plus vulnérables de rejoindre les groupes militants.
"Les gouvernements africains doivent être en première ligne pour combattre l’extrémisme violent. Pour remporter cette guerre contre le terrorisme, nous devons moins nous concentrer sur les interventions militaires et davantage investir dans l’éducation des jeunes, le développement et la bonne gouvernance", a-t-il dit.
A la veille du 26e sommet des chefs d’Etat et de gouvernement de l’UA, le secrétaire général des Nations Unies a également exhorté les dirigeants africains à soutenir les efforts de paix et de réconciliation dans des zones troublées telles que le Soudan du Sud et le Burundi.
"J’en appelle aux bélligérants au Soudan du Sud à accélérer la formation d’un gouvernement d’union nationale", a-t-il lancé en promettant également de soutenir les efforts pour mettre fin à la crise politique au Burundi.
Teodoro Obiang Nguema, président du CPS et de la Guinée équatoriale, a convenu que le continent devait lutter d’urgence contre les deux fléaux que sont le terrorisme et les guerres civiles.
"Nous devons adopter des mesures pour contenir les menaces que sont le terrorisme, le fondamentalisme religieux et les conflits qui ont miné notre capacité à bâtir un continent stable, pacifique et prospère", a-t-il dit.
M. Obiang a par ailleurs annoncé que les Etats membres de l’Union africaine avaient adopté une position commune pour lutter de façon déterminée contre les groupes terroristes tels que Boko Haram au Nigeria et les Shebab en Somalie.