Arrivé à Addis-Abeba le jeudi 28 janvier 2016 pour prendre part au Sommet ordinaire de l'Union Africaine, le Président de la République, S.E.M. Alassane OUATTARA, a participé, dans la matinée de ce vendredi 29 Janvier, au 24ème Forum des Chefs d’Etat et de Gouvernement du Mécanisme Africain d’Evaluation par les Pairs (MAEP) et à la réunion du Conseil de Paix et de Sécurité de l’Union Africaine.
Intervenant à l’occasion du Forum du MAEP sur le thème relatif au rôle de ce Mécanisme dans le suivi de l’Agenda 2063 et des Objectifs de Développement Durable (ODD) de la période après 2015, le Chef de l’Etat s’est félicité de ce thème qui ‘’nous donne l’occasion d’avoir des échanges sur la situation socioéconomique de l’Afrique en général et sur celle de nos populations en particulier’’.
Pour le Président Alassane OUATTARA, la création, en mars 2003, du Mécanisme Africain d’Evaluation par les Pairs répondait à une préoccupation majeure; celle d’améliorer l’efficacité de l’action gouvernementale dans nos Etats à travers le renforcement de la Bonne gouvernance, et plus spécifiquement, la démocratie, la gestion économique, la gouvernance des entreprises et le développement socioéconomique.
De manière générale, a indiqué le Chef de l’Etat, l’Afrique a réalisé d’énormes progrès dans les domaines économique et social au cours de la décennie passée grâce aux réformes institutionnelles, structurelles et macroéconomiques mises en oeuvre avec courage et détermination dans de nombreux pays.
Pour le Président de la République, il existe un lien direct entre la mise en oeuvre de ces réformes économiques et institutionnelles et la croissance et le développement humain; c'est pourquoi, selon lui, une intégration judicieuse et pertinente des Plans Nationaux d’Action du MAEP dans les Programmes Nationaux de Développement des Etats Membres, contribuera à accélérer la transformation de l’Afrique et à atteindre les Objectifs de Développement Durable (ODD).
Le Chef de l'Etat a profité de ce Forum pour partager avec ses Homologues l’expérience de la Côte d'Ivoire en matière de réussite économique. Il a ainsi mis en exergue les réformes importantes entreprises par son pays en matière de gouvernance économique et institutionnelle depuis 2012. Ces mesures ont permis à la Côte d’Ivoire de réaliser des performances exceptionnelles dans tous les domaines.
Pour terminer, le Président OUATTARA a indiqué que la Côte d'Ivoire a décidé d'adhérer au MAEP en janvier 2015, afin d’approfondir ses réformes et renforcer sa gouvernance. Il a donc exhorté les autres pays africains non encore membres à adhérer au MAEP afin de tirer profit de cet instrument original au service du développement de l’Afrique.
La réunion du Conseil de Paix et de Sécurité de l’Union Africaine a, quant à elle, permis aux Chefs d’Etat et de Gouvernement d’évoquer les voies et moyens pour lutter contre le terrorisme. Les crises au Burundi et au Soudan du Sud ont également été au coeur des échanges.
Pour les différents intervenants, notamment le Président Théodoro Obiang Nguema, Président en exercice du Conseil de Paix et de Sécurité de l’Union Africaine, et le Secrétaire Général des Nations Unies, M. Ban Ki-Moon, les Etats doivent mutualiser leurs efforts pour venir à bout du terrorisme.
Evoquant les crises au Burundi et au Soudan du Sud, une solution politique a été préconisée, sous l’égide de l’Union Africaine.
Intervenant à l’occasion du Forum du MAEP sur le thème relatif au rôle de ce Mécanisme dans le suivi de l’Agenda 2063 et des Objectifs de Développement Durable (ODD) de la période après 2015, le Chef de l’Etat s’est félicité de ce thème qui ‘’nous donne l’occasion d’avoir des échanges sur la situation socioéconomique de l’Afrique en général et sur celle de nos populations en particulier’’.
Pour le Président Alassane OUATTARA, la création, en mars 2003, du Mécanisme Africain d’Evaluation par les Pairs répondait à une préoccupation majeure; celle d’améliorer l’efficacité de l’action gouvernementale dans nos Etats à travers le renforcement de la Bonne gouvernance, et plus spécifiquement, la démocratie, la gestion économique, la gouvernance des entreprises et le développement socioéconomique.
De manière générale, a indiqué le Chef de l’Etat, l’Afrique a réalisé d’énormes progrès dans les domaines économique et social au cours de la décennie passée grâce aux réformes institutionnelles, structurelles et macroéconomiques mises en oeuvre avec courage et détermination dans de nombreux pays.
Pour le Président de la République, il existe un lien direct entre la mise en oeuvre de ces réformes économiques et institutionnelles et la croissance et le développement humain; c'est pourquoi, selon lui, une intégration judicieuse et pertinente des Plans Nationaux d’Action du MAEP dans les Programmes Nationaux de Développement des Etats Membres, contribuera à accélérer la transformation de l’Afrique et à atteindre les Objectifs de Développement Durable (ODD).
Le Chef de l'Etat a profité de ce Forum pour partager avec ses Homologues l’expérience de la Côte d'Ivoire en matière de réussite économique. Il a ainsi mis en exergue les réformes importantes entreprises par son pays en matière de gouvernance économique et institutionnelle depuis 2012. Ces mesures ont permis à la Côte d’Ivoire de réaliser des performances exceptionnelles dans tous les domaines.
Pour terminer, le Président OUATTARA a indiqué que la Côte d'Ivoire a décidé d'adhérer au MAEP en janvier 2015, afin d’approfondir ses réformes et renforcer sa gouvernance. Il a donc exhorté les autres pays africains non encore membres à adhérer au MAEP afin de tirer profit de cet instrument original au service du développement de l’Afrique.
La réunion du Conseil de Paix et de Sécurité de l’Union Africaine a, quant à elle, permis aux Chefs d’Etat et de Gouvernement d’évoquer les voies et moyens pour lutter contre le terrorisme. Les crises au Burundi et au Soudan du Sud ont également été au coeur des échanges.
Pour les différents intervenants, notamment le Président Théodoro Obiang Nguema, Président en exercice du Conseil de Paix et de Sécurité de l’Union Africaine, et le Secrétaire Général des Nations Unies, M. Ban Ki-Moon, les Etats doivent mutualiser leurs efforts pour venir à bout du terrorisme.
Evoquant les crises au Burundi et au Soudan du Sud, une solution politique a été préconisée, sous l’égide de l’Union Africaine.