Plusieurs fois interpellés, des responsables de la Direction générale de la Société nationale d’Opérations pétrolières de Côte d’Ivoire (Petroci) ont refusé de se prêter aux questions des journalistes sur la crise que traverse leur maison. Mais, après le premier jour de grève lancée par les employés, le mardi 2 février 2016, on en sait un peu plus sur leur position.
En effet, des informations émanant de Petroci, expliquent que «La conjoncture est très difficile, voire inédite, pour Petroci qui se trouve, aujourd’hui, face à des dettes très importantes contractées avant avril 2011, des obligations de cash calls (appels de fonds) non satisfaites, une forte baisse des revenus due à la chute vertigineuse des cours du pétrole brut (de $144/baril à... suite de l'article sur Soir Info
En effet, des informations émanant de Petroci, expliquent que «La conjoncture est très difficile, voire inédite, pour Petroci qui se trouve, aujourd’hui, face à des dettes très importantes contractées avant avril 2011, des obligations de cash calls (appels de fonds) non satisfaites, une forte baisse des revenus due à la chute vertigineuse des cours du pétrole brut (de $144/baril à... suite de l'article sur Soir Info