Abidjan- La représentante spéciale du secrétaire général des Nations Unies en Côte d’Ivoire, Aichatou Mindaoudou, a appelé les populations de Dimbokro à continuer de préserver la paix.
“L’environnement apaisé dans lequel s’est déroulé le scrutin présidentiel en octobre 2015 est le résultat de votre comportement responsable et citoyen”, a indiqué jeudi à Dimbokro, Mme Mindaoudou, lors de la 42ème édition des journées des Nations Unies (JNU), encourageant toutes les parties à continuer de former, informer et de pacifier avant, pendant et après les élections locales à venir en vue de préserver la paix.
“Nous avons sillonné plusieurs villages et hameaux du pays dans le but d’accroitre l’adhésion de tous à la paix, que je vous encourage à préserver", a-t-elle souligné ajoutant que le but des JNU est d’accompagner les autorités et les populations dans ce sens.
Quant au préfet de région, N’Guessan Obouo, il a exhorté les populations à faire en sorte que coexiste au-delà des différences ethnique et religieuses, harmonie et fraternité car selon lui, le développement de la région ne repose que sur la simple expression de l’union des fils et des filles du N’zi, sans oublier de relever toutefois les contributions précieuses de la mission onusienne dans l’organisation de sortie de crise en 2010.
sdaf/kam
“L’environnement apaisé dans lequel s’est déroulé le scrutin présidentiel en octobre 2015 est le résultat de votre comportement responsable et citoyen”, a indiqué jeudi à Dimbokro, Mme Mindaoudou, lors de la 42ème édition des journées des Nations Unies (JNU), encourageant toutes les parties à continuer de former, informer et de pacifier avant, pendant et après les élections locales à venir en vue de préserver la paix.
“Nous avons sillonné plusieurs villages et hameaux du pays dans le but d’accroitre l’adhésion de tous à la paix, que je vous encourage à préserver", a-t-elle souligné ajoutant que le but des JNU est d’accompagner les autorités et les populations dans ce sens.
Quant au préfet de région, N’Guessan Obouo, il a exhorté les populations à faire en sorte que coexiste au-delà des différences ethnique et religieuses, harmonie et fraternité car selon lui, le développement de la région ne repose que sur la simple expression de l’union des fils et des filles du N’zi, sans oublier de relever toutefois les contributions précieuses de la mission onusienne dans l’organisation de sortie de crise en 2010.
sdaf/kam