Le président ivoirien Alassane Ouattara a affirmé samedi avoir demandé à l’Organisation des Nations unies (ONU) de prolonger le mandat de ses forces en Côte d’Ivoire qui expire le 30 juin jusqu’en 2017, face à la presse à Abidjan après un séjour en Ethiopie et en France.
"Nous avons écrit au Secrétaire général de l'ONU afin d'obtenir le prolongement du mandat des forces de l’Opération des Nations unies en Côte d’Ivoire (ONUCI) jusqu'en 2017", a indiqué M. Ouattara.
Le 26 juin 2015, le Conseil de sécurité de l’ONU avait prorogé le mandat de sa force militaire en Côte d’Ivoire "jusqu’au 30 juin 2016 ", tout en prévoyant la fourniture d’un "soutien logistique limité" au gouvernement ivoirien pendant la période électorale.
Le Conseil de sécurité a décidé, il y a deux semaines de réduire "l’effectif de (sa) composante militaire" en Côte d’Ivoire qui devrait passer de 5.437 à 4.000 hommes d’ici au 31 mars, évoquant le "succès" de la présidentielle du 25 octobre 2015 et les "progrès considérables" réalisés dans le pays.
M.Ouattara avait rappelé en mai 2015 son intention de "demander le départ" de l’ONUCI après la présidentielle, "soit en 2017, soit en 2018", face à la presse.
ABL
"Nous avons écrit au Secrétaire général de l'ONU afin d'obtenir le prolongement du mandat des forces de l’Opération des Nations unies en Côte d’Ivoire (ONUCI) jusqu'en 2017", a indiqué M. Ouattara.
Le 26 juin 2015, le Conseil de sécurité de l’ONU avait prorogé le mandat de sa force militaire en Côte d’Ivoire "jusqu’au 30 juin 2016 ", tout en prévoyant la fourniture d’un "soutien logistique limité" au gouvernement ivoirien pendant la période électorale.
Le Conseil de sécurité a décidé, il y a deux semaines de réduire "l’effectif de (sa) composante militaire" en Côte d’Ivoire qui devrait passer de 5.437 à 4.000 hommes d’ici au 31 mars, évoquant le "succès" de la présidentielle du 25 octobre 2015 et les "progrès considérables" réalisés dans le pays.
M.Ouattara avait rappelé en mai 2015 son intention de "demander le départ" de l’ONUCI après la présidentielle, "soit en 2017, soit en 2018", face à la presse.
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