Abidjan (Côte d'Ivoire) - Le Directeur du Bureau régional du Fonds des Nations Unies pour la population pour l’Afrique de l’Ouest et du Centre ((FNUAP-BRAOC), Mabingué Ngom a annoncé lundi, à Abidjan la poursuite de l’appui de son institution afin de faire reculer les grossesses en milieu scolaire en Côte d’Ivoire.
« Nous avons décidé de faire reculer le phénomène des grossesses en milieu scolaire, une question très douloureuse », a indiqué, Mabingué Ngom au terme d'un petit déjeuner d'échange avec les ministres ivoiriens de la Santé et de l'Hygiène Publique ; du Plan et du Développement ; de la Promotion de la femme, de la Famille et de la protection de l'Enfant et celui de la Promotion de la Jeunesse, de l'Emploi des jeunes et du service civique.
Pour le Directeur du Bureau régional de ce Fonds des Nations-unies dédié à la population, l'objectif de ce nouveau bail de confiance à la Côte d'Ivoire, est de « continuer la baisse de 40% affichée après une année et demie d'intervention ».
Mabingué Ngom qui séjourne depuis dimanche soir en Côte d'Ivoire a salué les efforts du gouvernement ivoirien pour «le taux de croissance, le retour au calme, la collégialité du gouvernement, les progrès enregistrés en ce qui concerne l'indicateur mère-enfant, jeunes ». Il visitera, mardi, au Lycée Sainte-Marie de Cocody un projet de lutte contre ce phénomène des grossesses en milieu scolaire.
Selon le ministère de l'éducation nationale, sur la période allant d'octobre 2014 à la mi-mars 2015, il a été dénombré dans les établissements d'enseignement primaire et secondaire de Côte d'Ivoire 5.992 cas de grossesses contre 6.800 cas l'année dernière.
Dans les écoles du primaire, ce sont 672 cas qui ont été recensés dont 5 fillettes de 9 et 10, 95 de 11 ans et 559 de plus de 11 ans. Au secondaire, il y a 4.250 cas de grossesses, dont une proportion de 23% de jeunes filles de plus de 18 ans, 30% dont l'âge varie entre 9 et 15 ans et 47% entre 16 et 18 ans.
SY/ls/APA
« Nous avons décidé de faire reculer le phénomène des grossesses en milieu scolaire, une question très douloureuse », a indiqué, Mabingué Ngom au terme d'un petit déjeuner d'échange avec les ministres ivoiriens de la Santé et de l'Hygiène Publique ; du Plan et du Développement ; de la Promotion de la femme, de la Famille et de la protection de l'Enfant et celui de la Promotion de la Jeunesse, de l'Emploi des jeunes et du service civique.
Pour le Directeur du Bureau régional de ce Fonds des Nations-unies dédié à la population, l'objectif de ce nouveau bail de confiance à la Côte d'Ivoire, est de « continuer la baisse de 40% affichée après une année et demie d'intervention ».
Mabingué Ngom qui séjourne depuis dimanche soir en Côte d'Ivoire a salué les efforts du gouvernement ivoirien pour «le taux de croissance, le retour au calme, la collégialité du gouvernement, les progrès enregistrés en ce qui concerne l'indicateur mère-enfant, jeunes ». Il visitera, mardi, au Lycée Sainte-Marie de Cocody un projet de lutte contre ce phénomène des grossesses en milieu scolaire.
Selon le ministère de l'éducation nationale, sur la période allant d'octobre 2014 à la mi-mars 2015, il a été dénombré dans les établissements d'enseignement primaire et secondaire de Côte d'Ivoire 5.992 cas de grossesses contre 6.800 cas l'année dernière.
Dans les écoles du primaire, ce sont 672 cas qui ont été recensés dont 5 fillettes de 9 et 10, 95 de 11 ans et 559 de plus de 11 ans. Au secondaire, il y a 4.250 cas de grossesses, dont une proportion de 23% de jeunes filles de plus de 18 ans, 30% dont l'âge varie entre 9 et 15 ans et 47% entre 16 et 18 ans.
SY/ls/APA