« Donnez-nous une bière, c’est notre fête. On sera désormais en paix », se réjouissent trois gardes pénitenciers qui prennent place au maquis « Pico la joie », qui jouxte la Maison d’arrêt et de correction d’Abidjan (MACA). Même les nouvelles rafales qui fendent le calme régnant en ce début de soirée ne les troublent guère. « C’est le ratissage », assure l’un d’entre eux.
Depuis cinq ans, eux, comme la centaine de gardes pénitenciers de la plus grande prison d’Abidjan, avaient le sommeil troublé par les agissements d’un prisonnier : Yacou le Chinois, de son vrai nom Yacouba Coulibaly. « S’il avait réussi son coup aujourd’hui, il serait devenu trois fois plus fort », témoigne un garde pénitencier, la main gauche touchée par un éclat de... suite de l'article sur
Depuis cinq ans, eux, comme la centaine de gardes pénitenciers de la plus grande prison d’Abidjan, avaient le sommeil troublé par les agissements d’un prisonnier : Yacou le Chinois, de son vrai nom Yacouba Coulibaly. « S’il avait réussi son coup aujourd’hui, il serait devenu trois fois plus fort », témoigne un garde pénitencier, la main gauche touchée par un éclat de... suite de l'article sur