Le président ivoirien Alassane Ouattara a reçu lundi à Abidjan le ministre des Affaires étrangères du Burkina Faso, Alpha Barry, au lendemain de l'extradition par la Côte d'Ivoire de militaires burkinabés réfugiés dans le pays suite à la tentative de coup d'Etat de septembre dernier au Burkina Faso.
"Nous sommes venus dire la reconnaissance du président Roch et de tout le peuple burkinabè à l'endroit de son frère Alassane Ouattara", a déclaré Alpha Barry au terme de l'entretien.
Samedi, Moussa Nébié, dit Rambo, adjudant-chef de l'ex Régiment de sécurité présidentielle (RSP) du Burkina Faso a été extradé de Côte d'Ivoire en même que deux civils suspectés dans le coup d'Etat manqué du 16 septembre dernier.
"Nous avons parlé des relations qui sont fortes entre la Côte d'Ivoire et le Burkina Faso, nous avons un intérêt commun à avoir une solide coopération dans le domaine de la sécurité", a poursuivi Alpha qui a dit être porteur d'un message du président Marc Roch Christian Kaboré à son homologue ivoirien.
Selon lui, Alassane Ouattara a réaffirmé la disponibilité de la Côte d'Ivoire à aider le Burkina dans le domaine de la sécurité et Marc Roch Christian est "aussi disposé à ce que tout se passe bien au niveau de la sécurité entre les deux pays", notamment au niveau des frontières.
Le 16 janvier, une attaque terroriste dans un hôtel de la capitale burkinabé, Ouagadougou, a fait 30 morts. "Nous devons nous entendre pour mener efficacement la lutte contre les djihadistes, le Burkina Faso œuvre avec la Côte d'Ivoire à ce que la sécurité entre les deux pays s'améliore", a dit le chef de la diplomatie du Burkina Faso.
Sur les mandats d'arrêt émis par la justice burkinabé contre le président de l'Assemblée nationale de Côte d'Ivoire, Guillaume Soro, pour son rôle supposé dans le coup d'Etat du 16 septembre, et pour l'extradition de l'ex président du Burkina Faso, Blaise Compaoré réfugié à Abidjan, Alpha Barry a signifié que ces sujets n'ont pas été à l'heure du jour de la rencontre.
"Les gouvernants ne se mêlent pas directement des questions de justice", a-t-il justifié.
"Nous sommes venus dire la reconnaissance du président Roch et de tout le peuple burkinabè à l'endroit de son frère Alassane Ouattara", a déclaré Alpha Barry au terme de l'entretien.
Samedi, Moussa Nébié, dit Rambo, adjudant-chef de l'ex Régiment de sécurité présidentielle (RSP) du Burkina Faso a été extradé de Côte d'Ivoire en même que deux civils suspectés dans le coup d'Etat manqué du 16 septembre dernier.
"Nous avons parlé des relations qui sont fortes entre la Côte d'Ivoire et le Burkina Faso, nous avons un intérêt commun à avoir une solide coopération dans le domaine de la sécurité", a poursuivi Alpha qui a dit être porteur d'un message du président Marc Roch Christian Kaboré à son homologue ivoirien.
Selon lui, Alassane Ouattara a réaffirmé la disponibilité de la Côte d'Ivoire à aider le Burkina dans le domaine de la sécurité et Marc Roch Christian est "aussi disposé à ce que tout se passe bien au niveau de la sécurité entre les deux pays", notamment au niveau des frontières.
Le 16 janvier, une attaque terroriste dans un hôtel de la capitale burkinabé, Ouagadougou, a fait 30 morts. "Nous devons nous entendre pour mener efficacement la lutte contre les djihadistes, le Burkina Faso œuvre avec la Côte d'Ivoire à ce que la sécurité entre les deux pays s'améliore", a dit le chef de la diplomatie du Burkina Faso.
Sur les mandats d'arrêt émis par la justice burkinabé contre le président de l'Assemblée nationale de Côte d'Ivoire, Guillaume Soro, pour son rôle supposé dans le coup d'Etat du 16 septembre, et pour l'extradition de l'ex président du Burkina Faso, Blaise Compaoré réfugié à Abidjan, Alpha Barry a signifié que ces sujets n'ont pas été à l'heure du jour de la rencontre.
"Les gouvernants ne se mêlent pas directement des questions de justice", a-t-il justifié.