La diffusion, le 12 novembre 2015, sur les réseaux sociaux, de ces enregistrements téléphoniques – ou présentés comme tels – avait fait l’effet d’une bombe. On y entendait Guillaume Soro, la deuxième personnalité de l’Etat ivoirien en tant que président du Parlement, conseiller l’ancien ministre burkinabé des affaires étrangères de Blaise Compaoré, Djibrill Bassolé, sur la meilleure façon de sauver une tentative de coup d’Etat alors bien mal engagée.
Les propos, transparents, entre les deux hommes, exposaient l’implication du grand voisin ivoirien dans une entreprise de déstabilisation du pouvoir de transition installé à Ouagadougou depuis la chute de Blaise Compaoré, un an plus tôt. Mais voilà. Une expertise privée commandée par le défenseur de... suite de l'article sur LeMonde.fr
Les propos, transparents, entre les deux hommes, exposaient l’implication du grand voisin ivoirien dans une entreprise de déstabilisation du pouvoir de transition installé à Ouagadougou depuis la chute de Blaise Compaoré, un an plus tôt. Mais voilà. Une expertise privée commandée par le défenseur de... suite de l'article sur LeMonde.fr