➢ Excellence, Monsieur le Premier Ministre, Président du Comité de pilotage des 8e Jeux de la Francophonie ;
➢ Madame et Messieurs les Ministres, Membres dudit Comité de pilotage ;
➢ Mesdames et Messieurs les Membres du Gouvernement ;
➢ Excellences Mesdames et Messieurs les Ambassadeurs et Représentants des Organisations Internationales Accréditées en Côte d’Ivoire ;
➢ Monsieur le Gouverneur du District d’Abidjan ;
➢ Mesdames et Messieurs les élus
➢ Monsieur le Directeur du Comité International des Jeux de la Francophonie ;
➢ Monsieur le Directeur Général du Comité National des 8e Jeux de la Francophonie ;
➢ Honorables Invités ;
➢ Mesdames et Messieurs.
Je tiens, avant tout, à exprimer à son Excellence Monsieur le Premier Ministre, la gratitude que nous lui devons, pour l’éclat exceptionnel que sa présence confère à la cérémonie de lancement des travaux des chantiers de construction et de réhabilitation des infrastructures devant accueillir les 8e Jeux de la Francophonie.
Nous vous devons également, Monsieur le Premier Ministre, d’avoir rendu possible la cérémonie de ce jour. En effet, votre implication personnelle dans le déroulement des travaux du Comité de Pilotage des Jeux, a permis de donner un grand coup d’accélérateur à l’accomplissement des diligences qu’appellent la mise en œuvre des engagements consignés dans le cahier de charges des Jeux auxquels la Côte d’Ivoire a souscrit dans son dossier de candidature.
Tous les Membres du Comité de Pilotage, du Comité Interministériel ainsi que de la Direction des Jeux sont unanimes pour dire que sans la grande cadence que votre prodigieuse vitalité et votre grande puissance de travail ont imprimé à nos travaux, il n’aurait pas été possible de rattraper les retards que ceux-ci accusaient.
Le faisant, Monsieur le Premier Ministre, vous avez démontré encore une fois, votre sens élevé de l’Etat et votre dévouement au bien public, auxquels je me plais à rendre hommage.
Je voudrais, aussi remercier les hautes personnalités qui ont bien voulu, par leur présence, nous donner un témoignage de l’intérêt qu’ils portent au projet d’organisation des 8e Jeux de la Francophonie en Côte d’Ivoire.
Mesdames et Messieurs,
Lorsque le 15 mars 2013, la Côte d’Ivoire a présenté son dossier de candidature et obtenu l’organisation des 8e Jeux de la Francophonie, l’année 2017 apparaissait comme une perspective lointaine. Aujourd’hui, 25 février 2016, il faut en convenir, nous n’en sommes plus très loin, car juillet 2017 c’est dans quelques 16 mois.
Cependant, le dossier de candidature est là et il nous rappelle sans cesse nos engagements. En effet, la Côte d’Ivoire s’était engagée, pour être conforme aux exigences du cahier de charge des Jeux, à entreprendre les travaux de construction des salles de tennis de table du Palais des Sports de Treichville et du canal aux bois de Marcory, à procéder à la réhabilitation d’un certain nombre d’infrastructures sportives et culturelles notamment :
- Le stade Champroux ;
- La Bibliothèque Nationale ;
- Le Musée des civilisations de Côte d’Ivoire ;
- Le village des Jeux ;
- Le CNAC café-théâtre ;
- Le village des partenaires ;
- Le palais de la culture ;
- L’INSAC ;
- L’institut français.
Le chantier est vaste mais il n’est pas au-dessus de nos forces ni de notre détermination à offrir au monde et à la communauté francophone, des Jeux de qualité. C’est pourquoi, bien que les travaux aient connu un retard dans le commencement de leur exécution, nous demeurons optimistes quant au respect des délais.
Il suffit de constater les progrès significatifs réalisés en quelques mois, en tout cas depuis novembre 2015, pour s’en convaincre. La cadence que Son Excellence Monsieur le Premier Ministre a imposé aux travaux des différents organes du Comité National des Jeux, a permis de faire des avancées notables dont la cérémonie de lancement des travaux de ce jour est non seulement l’aboutissement mais surtout le témoignage de la volonté affichée de notre pays de tout mettre en œuvre pour tenir les délais.
A cet égard, il faut souligner que trois mois de durs labeurs ont permis de combler près de 12 mois de retard. Plus précisément, ce laps de temps nous a permis de réaliser :
- La restructuration du CNJF conformément au nouvel organigramme,
- La signature des ententes,
- Les études architecturales,
- L’attribution des marchés pour les 3 chantiers les plus longs du point de vue de la durée de leur temps d’exécution,
- Le dévoilement de la mascotte des Jeux,
- La validation de 17 plans opérationnels,
- La rédaction de huit TDR.
Il faut le dire, grâce au travail acharné de toutes nos équipes, ce qui n’était qu’un pari sur l’avenir est entrain d’entrer dans la voie de la réalité. Et le rythme sera maintenu jusqu’à la livraison dans les délais convenus, du dernier ouvrage du chantier.
Par un scrupule qui l’honore, la Côte d’Ivoire tiendra ses engagements.
Elle le fera, puisque les 8e Jeux d’Abidjan, consacrent le retour des Jeux de la Francophonie dans leur berceau, la Côte d’Ivoire. On me pardonnera de trahir une confidence que m’a faite l’un des doyens, acteur des premières heures de la Francophonie. C’est en effet, ici en Côte d’Ivoire, plus précisément à Yamoussoukro, qu’est née, sous l’inspiration du Président HOUPHOUET-BOIGNY, l’idée d’organiser des Jeux linguistiques que nous nommons Jeux de la Francophonie. Ce seul enjeu suffit pour nous galvaniser à conduire les chantiers à leurs termes dans les meilleurs délais.
Le second enjeu de ces Jeux, c’est le legs qu’ils feront à la Côte d’Ivoire une fois les rideaux tirés, et les lampions de la fête éteints. Toutes les infrastructures construites ou réhabilitées serviront aux mouvements sportifs et culturels pour l’organisation de leurs activités.
De ce point de vue, Monsieur le Ministre de la Culture et moi, sommes des Ministres comblés. Nos départements respectifs portent depuis plusieurs années des projets de construction ou de réhabilitation d’infrastructures sportives ou culturelles. Les jeux de la Francophonie se donnent ainsi à voir comme une opportunité pour la réalisation de ces projets.
C’est pourquoi, il me plait, au nom de tous les Ministres concernés par les Jeux, d’adresser nos remerciements à son Excellence Monsieur le Président de la République pour le coup de pouce qui nous est ainsi donné en vue de la réalisation des actions que nos départements respectifs ont inscrites dans le Programme de Travail Gouvernemental 2016 qui vient d’être adopté.
Les Jeux de la Francophonie, de par leur caractère transversal, implique plusieurs Ministères auxquels ils donnent un cadre de réalisation de leurs politiques sectoriels.
Excellence, Monsieur le Premier Ministre, votre temps est précieux, je ne vais pas davantage en abuser, je vais donc conclure mon propos en vous réitérant l’engagement des membres du comité de pilotage, du comité interministériel et de la Direction Général des Jeux, à œuvrer sans relâche, à vos côté en vue d’assurer à notre pays une bonne organisation des Jeux de la Francophonie.
Vive les Jeux de la Francophonie.
➢ Madame et Messieurs les Ministres, Membres dudit Comité de pilotage ;
➢ Mesdames et Messieurs les Membres du Gouvernement ;
➢ Excellences Mesdames et Messieurs les Ambassadeurs et Représentants des Organisations Internationales Accréditées en Côte d’Ivoire ;
➢ Monsieur le Gouverneur du District d’Abidjan ;
➢ Mesdames et Messieurs les élus
➢ Monsieur le Directeur du Comité International des Jeux de la Francophonie ;
➢ Monsieur le Directeur Général du Comité National des 8e Jeux de la Francophonie ;
➢ Honorables Invités ;
➢ Mesdames et Messieurs.
Je tiens, avant tout, à exprimer à son Excellence Monsieur le Premier Ministre, la gratitude que nous lui devons, pour l’éclat exceptionnel que sa présence confère à la cérémonie de lancement des travaux des chantiers de construction et de réhabilitation des infrastructures devant accueillir les 8e Jeux de la Francophonie.
Nous vous devons également, Monsieur le Premier Ministre, d’avoir rendu possible la cérémonie de ce jour. En effet, votre implication personnelle dans le déroulement des travaux du Comité de Pilotage des Jeux, a permis de donner un grand coup d’accélérateur à l’accomplissement des diligences qu’appellent la mise en œuvre des engagements consignés dans le cahier de charges des Jeux auxquels la Côte d’Ivoire a souscrit dans son dossier de candidature.
Tous les Membres du Comité de Pilotage, du Comité Interministériel ainsi que de la Direction des Jeux sont unanimes pour dire que sans la grande cadence que votre prodigieuse vitalité et votre grande puissance de travail ont imprimé à nos travaux, il n’aurait pas été possible de rattraper les retards que ceux-ci accusaient.
Le faisant, Monsieur le Premier Ministre, vous avez démontré encore une fois, votre sens élevé de l’Etat et votre dévouement au bien public, auxquels je me plais à rendre hommage.
Je voudrais, aussi remercier les hautes personnalités qui ont bien voulu, par leur présence, nous donner un témoignage de l’intérêt qu’ils portent au projet d’organisation des 8e Jeux de la Francophonie en Côte d’Ivoire.
Mesdames et Messieurs,
Lorsque le 15 mars 2013, la Côte d’Ivoire a présenté son dossier de candidature et obtenu l’organisation des 8e Jeux de la Francophonie, l’année 2017 apparaissait comme une perspective lointaine. Aujourd’hui, 25 février 2016, il faut en convenir, nous n’en sommes plus très loin, car juillet 2017 c’est dans quelques 16 mois.
Cependant, le dossier de candidature est là et il nous rappelle sans cesse nos engagements. En effet, la Côte d’Ivoire s’était engagée, pour être conforme aux exigences du cahier de charge des Jeux, à entreprendre les travaux de construction des salles de tennis de table du Palais des Sports de Treichville et du canal aux bois de Marcory, à procéder à la réhabilitation d’un certain nombre d’infrastructures sportives et culturelles notamment :
- Le stade Champroux ;
- La Bibliothèque Nationale ;
- Le Musée des civilisations de Côte d’Ivoire ;
- Le village des Jeux ;
- Le CNAC café-théâtre ;
- Le village des partenaires ;
- Le palais de la culture ;
- L’INSAC ;
- L’institut français.
Le chantier est vaste mais il n’est pas au-dessus de nos forces ni de notre détermination à offrir au monde et à la communauté francophone, des Jeux de qualité. C’est pourquoi, bien que les travaux aient connu un retard dans le commencement de leur exécution, nous demeurons optimistes quant au respect des délais.
Il suffit de constater les progrès significatifs réalisés en quelques mois, en tout cas depuis novembre 2015, pour s’en convaincre. La cadence que Son Excellence Monsieur le Premier Ministre a imposé aux travaux des différents organes du Comité National des Jeux, a permis de faire des avancées notables dont la cérémonie de lancement des travaux de ce jour est non seulement l’aboutissement mais surtout le témoignage de la volonté affichée de notre pays de tout mettre en œuvre pour tenir les délais.
A cet égard, il faut souligner que trois mois de durs labeurs ont permis de combler près de 12 mois de retard. Plus précisément, ce laps de temps nous a permis de réaliser :
- La restructuration du CNJF conformément au nouvel organigramme,
- La signature des ententes,
- Les études architecturales,
- L’attribution des marchés pour les 3 chantiers les plus longs du point de vue de la durée de leur temps d’exécution,
- Le dévoilement de la mascotte des Jeux,
- La validation de 17 plans opérationnels,
- La rédaction de huit TDR.
Il faut le dire, grâce au travail acharné de toutes nos équipes, ce qui n’était qu’un pari sur l’avenir est entrain d’entrer dans la voie de la réalité. Et le rythme sera maintenu jusqu’à la livraison dans les délais convenus, du dernier ouvrage du chantier.
Par un scrupule qui l’honore, la Côte d’Ivoire tiendra ses engagements.
Elle le fera, puisque les 8e Jeux d’Abidjan, consacrent le retour des Jeux de la Francophonie dans leur berceau, la Côte d’Ivoire. On me pardonnera de trahir une confidence que m’a faite l’un des doyens, acteur des premières heures de la Francophonie. C’est en effet, ici en Côte d’Ivoire, plus précisément à Yamoussoukro, qu’est née, sous l’inspiration du Président HOUPHOUET-BOIGNY, l’idée d’organiser des Jeux linguistiques que nous nommons Jeux de la Francophonie. Ce seul enjeu suffit pour nous galvaniser à conduire les chantiers à leurs termes dans les meilleurs délais.
Le second enjeu de ces Jeux, c’est le legs qu’ils feront à la Côte d’Ivoire une fois les rideaux tirés, et les lampions de la fête éteints. Toutes les infrastructures construites ou réhabilitées serviront aux mouvements sportifs et culturels pour l’organisation de leurs activités.
De ce point de vue, Monsieur le Ministre de la Culture et moi, sommes des Ministres comblés. Nos départements respectifs portent depuis plusieurs années des projets de construction ou de réhabilitation d’infrastructures sportives ou culturelles. Les jeux de la Francophonie se donnent ainsi à voir comme une opportunité pour la réalisation de ces projets.
C’est pourquoi, il me plait, au nom de tous les Ministres concernés par les Jeux, d’adresser nos remerciements à son Excellence Monsieur le Président de la République pour le coup de pouce qui nous est ainsi donné en vue de la réalisation des actions que nos départements respectifs ont inscrites dans le Programme de Travail Gouvernemental 2016 qui vient d’être adopté.
Les Jeux de la Francophonie, de par leur caractère transversal, implique plusieurs Ministères auxquels ils donnent un cadre de réalisation de leurs politiques sectoriels.
Excellence, Monsieur le Premier Ministre, votre temps est précieux, je ne vais pas davantage en abuser, je vais donc conclure mon propos en vous réitérant l’engagement des membres du comité de pilotage, du comité interministériel et de la Direction Général des Jeux, à œuvrer sans relâche, à vos côté en vue d’assurer à notre pays une bonne organisation des Jeux de la Francophonie.
Vive les Jeux de la Francophonie.